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Début de mon aventure : 15/11/2018 Messages : 991 ◈ Bourse de rubis : 438Titre : Déesse Race : Je fais partie des Dieux du monde Âge : Des siècles et des âges Inventaire : ○ Pouvoirs.○ Arme.○ Equipements.○ Monture.
Sujet: Mœurs, coutumes et époque Lun 11 Mar - 13:29
Mœurs, coutumes et époque
Le message commun
Sommaire
Chaque partie du Nouveau Monde, chaque territoire et chaque royaume possèdent leurs propres cultures et leurs traditions. Il n'est pas possible de tout regrouper en un seul et même poste, c'est pour cela que vous trouverez un poste par territoire qui vous détaillera les mœurs et cultures des différentes parties du Nouveau Monde.
Pour mieux vous y retrouver, vous aurez devant vous un petit sommaire dont les liens vous mènerons directement vers la partie de l'annexe qui vous intéresse.
Le Nouveau Monde ne reconnaît qu'une seule et même langue, que l'on appelle le plus souvent à des fins plus simplistes : la Langue Commune. Mais sous cette appellation, on retrouve le véritable nom de la Langue Commune qui est la Langue Hylienne qui est en réalité la langue originelle et celle qui a toujours existé depuis la nuit des temps.
La monnaie
Il n'existe qu'une seule et unique monnaie dans notre univers : le Rubis. Les rubis sont le plus souvent transportés dans des bourses, facile à glisser dans des poches (ou à voler) et stockés dans des coffres.
Il existe différents types de rubis et leur valeur a un lien avec leur couleur :
Le rubis vert vaut 1 unité.
Le rubis bleu vaut 5 unités, donc 5 rubis verts.
Le rubis jaune vaut 10 unités.
Le rubis rouge vaut 20 unités.
Le rubis violet vaut 50 unités.
Le rubis orange vaut 100 unités.
Le rubis argenté vaut 200 unités.
Le doré doré vaut 300 unités.
Plus la valeur d'un rubis est faible, plus il sera commun ; les rubis verts, bleus, jaune et rouge étant ceux qu'on croise le plus en jeu. Au contraire, les rubis argentés et dorés sont excessivement rares ; beaucoup d'entre vous n'en auront jamais vu.
BREATH OF HYRULE
Dernière édition par Déesse Hylia le Sam 30 Jan - 16:14, édité 4 fois
Déesse Hylia
◈ Déesse Fondatrice ◈ La lumière bienveillante
Début de mon aventure : 15/11/2018 Messages : 991 ◈ Bourse de rubis : 438Titre : Déesse Race : Je fais partie des Dieux du monde Âge : Des siècles et des âges Inventaire : ○ Pouvoirs.○ Arme.○ Equipements.○ Monture.
Sujet: Re: Mœurs, coutumes et époque Sam 30 Jan - 12:37
Mœurs, coutumes et époque (Hyrule)
Des informations précieuses
Les citoyens qui résident au sein du Royaume d'Hyrule sont appelés les Hyruliens et Hyruliennes.
Egalité hommes et femmes
Au sein du Royaume d'Hyrule, tous les hommes et toutes les femmes sont égaux, discriminer quelqu'un pour son sexe peut être puni et sanctionné. Il est en effet peu surprenant de voir une femme à la tête d'une famille ou d'un fief familial, tout comme les hommes peuvent également en posséder. Néanmoins et malgré cela, des inégalités et discriminations envers les femmes peuvent être observées mais cela reste des cas isolés qui s'exposent à la justice.
Le passage à l'âge adulte
Pour les jeunes filles, elles passent à l'âge adulte lorsqu'elles ont leur puberté, où leurs corps se forment complètement et qu'elles ont pour la première fois leurs menstruations. Elles sont alors mariables et sont considérées comme des femmes.
Pour les jeunes garçons, ils sont considérés adultes lorsqu'ils peuvent engendrer des enfants, donc lorsqu'ils atteignent l'âge pubère. C'est-à-dire entre 11 et 14 ans environ.
La justice et la criminalité
Qui juge quoi ? La Royauté juge les crimes très graves, tels que les meurtres de nobles, les viols, les propagandes de coups d'états, les criminels activement recherchés.
Les suzerains peuvent juger les crimes sérieux tels que des vols, des violences, la discrimination ainsi que les ventes illégales.
Les bannerets sont habilités à juger des petits crimes, tels que des petits vols, les diffamations, les harcèlements.
Le déroulement d'un jugement La procédure veut que, lorsque quelqu'un est accusé d'un crime, il est convoqué dans un tribunal où se tient des juges, le peuple peut venir assister aux audiences, mais ils n'ont pas de droit de parole. Il n'existe pas réellement d'avocats, l'accusé doit se défendre seul et la victime doit apporter les preuves aux juges de ses accusations afin d'éviter les accusations à tort. Pour les nobles accusés, ils peuvent bénéficier des témoignages d'autres nobles afin de se défendre, ayant plus d'influence et de pouvoir, mais cela ne marche pas toujours.
Les peines, les sanctions En Hyrule, la mise à mort n'existe plus, elle a été abolie il y a très longtemps. De nos jours, ce sont l'exil et la prison qui sont les deux principales punitions à tous les crimes. Les années de détention varient en fonction des fautes commises, au bon vouloir des juges qui seront les seuls à pouvoir déterminer la peine encourue.
Les mariages
Généralement la couleur associée aux mariages est le blanc pur, le rouge représentant les mauvaises intentions lors d'un mariage. Par conséquent, s'habiller de rouge ou porter un objet de couleur rouge signifie de mauvais présages pour l'union célébrée. Les deux mariés doivent échanger leurs bagues de mariage à leurs doigts et ne doivent l'enlever sous aucun prétexte. Lors des mariages, la femme prendra obligatoirement le nom de son époux, elle doit alors renoncer à son nom de jeune fille.
Il est important de noter que les mariages arrangés, souvent politiques, sont toujours pratiqués, il n'y a pas de mal à ça. Mais les mariages arrangés sont très souvent accompagnés d'un contrat signé entre les deux familles ou d'un dot.
Les cérémonies Tous les mariages sont célébrés devant un autel dédié à la statue représentant la divinité vénérée. Des bijoux et des fleurs sont généralement offerts à la mariée, et des armes ou des capes chaudes sont données à l'époux. Ainsi, les deux unis devront faire une offrande aux Dieux afin de leur demander une bénédiction quant à leur union. Ne pas offrir de cadeaux aux mariés est très mal vu, de même que pour les mariés de ne pas faire d'offrande aux Dieux serait considéré comme un manque de respect et l'union ne serait pas bénie. Des festivités peuvent être organisées, tout comme le mariage peut être célébré en petit comité familial. Tout dépend de chacun et de la volonté des familles.
Les divorces Il est possible de demander un divorce lorsqu'un mariage ne va plus, qu'une union ne tient plus. Ce sont des cas assez rares, car les personnes qui divorcent sont ensuite très mal vues vis-à-vis des autres, surtout dans un souci religieux. Cela équivaut à dire que les mariés n'ont pas tenu leurs promesses face aux Dieux.
Les héritages
Avant tout, l'héritage est de famille, chacun hérite ce qu'il doit de ses parents, et ainsi de suite. Les bâtards n'ont aucun droit d'héritage, étant considérés comme "à part" dans la famille, ils ne peuvent être légitimités en tant qu'héritiers sur un héritage.
En règle générale, c'est l'aîné qui devient l'héritier légitime, seulement, il peut arriver que les parents en décident autrement et par le biais d'un testament ou d'une lettre signée désignent un autre héritier. Cela reste rare, mais ce genre de situation peut arriver bien que rare.
Le deuil
Le noir est la couleur symbolique du deuil. On dit que le noir aide les âmes à s'apaiser et calmer la souffrance des personnes endeuillées. Les concernés devront s'habiller de noir durant une semaine suivant la mort de leur proche, une fois cette période terminée, ils sont libres de porter d'autres couleurs.
Rituels de funérailles Les rituels du deuil sont différents selon les volontés des familles, on peut enterrer le défunt dans son cercueil sous la terre au cimetière, soit le faire brûler afin d'en récupérer les cendres. Ce sont les deux pratiques les plus répandues, parfois, selon les traditions familiales les rituels sont différents. Mais ils se font toujours dans le respect du défunt. Il n'est pas rare aussi que les personnes endeuillées fassent des offrandes aux Dieux pour les implorer de retirer leur douleur ou leur demander de protéger l'âme du défunt.
La prostitution et l’esclavagisme
La prostitution En Hyrule, la prostitution est chose courante et est un métier comme les autres. Certaines femmes de joie sont d'ailleurs très respectées et de dangereuses femmes d'affaires, reconnues pour leurs talents de manipulation et de négociation. La prostitution peut être également autant féminine que masculine, bien que les gigolos soient un peu plus dénigrés.
L'esclavagisme La notion d'esclavagisme est prohibée dans le Royaume d'Hyrule et est punie sévèrement par la loi. Il est en effet interdit de marchander des vies dans les contrées de la lumière ; néanmoins il n'est pas rare de voir des parents vendre leur enfant pour leur offrir un avenir meilleur - chose qu'ils font évidement de manière hors la loi.
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Déesse Hylia
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Sujet: Re: Mœurs, coutumes et époque Sam 30 Jan - 12:37
Mœurs, coutumes et époque (Metzli)
Des informations précieuses
Les citoyens qui résident au sein du Royaume de Metzli sont appelés les Metzliens et Metzliennes.
Egalité hommes et femmes
A Metzli, en théorie, les hommes et les femmes sont égaux, peuvent posséder titres et terres et peuvent l'un comme l'autre, devenir roi ou reine. Cependant, dans les familles issues de la noblesse, la vérité est toute autre : les femmes sont certes respectées mais bien souvent, elles utilisées pour établir des alliances et donner naissance à des héritiers une fois mariées. La plupart des femmes sont donc enfermées dans ce contexte du devoir et obéissent à leurs familles respectives. Tandis que les hommes se voient bien moins contraints.
Le passage à l'âge adulte
Pour les jeunes filles, elles passent à l'âge adulte lorsqu'elles ont leur puberté, où leurs corps se forment complètement et qu'elles ont pour la première fois leurs menstruations. Elles sont alors mariables et sont considérées comme des femmes.
Pour les jeunes garçons, ils sont considérés adultes lorsqu'ils peuvent se reproduire, par conséquent, lorsqu'ils atteignent l'âge pubère. C'est-à-dire entre 11 et 14 ans.
La justice et la criminalité
Il faut savoir qu'à Metzli, la corruption, l'argent, les complots et les messes-basses font partis du paysage du royaume.
Qui juge quoi ? Le roi ou la reine de Metzli possède les pleins pouvoirs sur le royaume, notamment sur la justice. Pour les crimes les plus graves, ils sont jugés en personne par le ou la souverain.e détenant la couronne, accompagné.e des conseillers pour épauler lors du jugement. Les juges sont également là pour faire avancer les procès.
Les bannerets sont habilités à juger des plus petits crimes et peuvent prononcer eux-mêmes les sentences. Mais ils ne peuvent pas condamner à mort un accusé sans l'approbation de la Couronne.
Le déroulement d'un jugement Les jugements se déroulent d'une façon assez classique, l'accusé doit répondre aux accusations, soit en apportant des témoignages ou des preuves de son innocence face à des juges qualifiés ou bien la Couronne. Il n'existe pas de système d'avocat. Nous sommes à Metzli, et la corruption et les manigances y sont monnaie courante. C'est pourquoi, il n'est pas rare d'y voir de faux documents circuler ou bien de fausses accusations. Il est également possible de négocier une peine ou une libération avec une bonne bourse remplie de rubis... mais ça, ça ne marche pas toujours !
Les peines, les sanctions A Metzli, la peine de mort existe et est toujours pratiquée pour les crimes les plus graves. Cependant, d'autres types de sanctions sont également au goût du jour : la prison ou l'exil, généralement, pour les actes moins graves. Cependant, la loi est dure et sévère et il n'est pas rare que des Metzliens se fasse emprisonner à vie. Pour les nobles, il est possible de tomber en disgrâce et cela peut se répercuter à toute la famille ; une lignée peut se voir retirer son titre et leurs terres si un crime très grave est commis.
Les mariages
Les mariages sont évidemment pratiqués à Metzli et sont d'ailleurs et toujours un outil très puissant pour nouer des alliances entre les familles nobles. Les unions d'amour parviennent également à se faire mais il est plus courant de célébrer des mariages arrangés dans un but politique et d'alliance que des mariages animés par la passion.
Les cérémonies Généralement, les Metzliens sont athées et ne reconnaissent aucun Dieu ni Déesse, ni un quelconque Esprit. C'est pourquoi les mariages sont célébrés d'une façon très classique, un prête généralement, prononce les vœux des mariés devant ce que l'on appelle un Arbre Obscur qui n'est d'autre qu'un immense arbre noir. Les époux sont liés à la vie, à la mort, devant tout Metzli.
Les divorces Les divorces sont extrêmement mal vus et peuvent engendrer des conséquences terribles pour les familles liées. Puisqu'en règle générale, les mariages arrangés permettent des alliances, lorsque divorce il y a, une alliance est rompue. Et les retombées peuvent être très sérieuses. Cependant, en cas de décès ou de violences, un divorce peut être prononcé en toute légalité et approbation.
Les héritages
Dans le cycle naturel des choses, c'est l'enfant aîné d'un couple qui est désigné comme étant le premier héritier. Les autres enfants n'ont aucun droit d'héritage si leur aîné est toujours en vie. A savoir qu'à Metzli, une femme pour être désignée comme héritière mais peut être destituée de son droit légitime pour nommer un frère, même s'il est plus jeune. Mais ce genre de décision n'est pas toujours bien vue.
Les enfants « bâtards », donc conçus hors mariage, ne peut prétendre à aucun droit d'héritage. Et ce, même si la famille le reconnaît et souhaite donner un héritage à l'enfant bâtard.
Le deuil
A Metzli, le deuil est une notion extrêmement bien respectée de tous les citoyens. Si en règle générale les Metzliens ne croient en aucune divinité, ils prient tous pour la plupart pour le repos éternel du défunt. Les familles endeuillées se chargent elles-mêmes d'organiser les funérailles tout en portant le noir durant les premiers jours qui suivent le décès de leur proche. Le violet étant également une couleur privilégiée pour le deuil.
Rituels de funérailles Les Metzliens ont pour habitude d'organiser des bûchés funéraires où le corps du défunt sera placé. A la fin de ce dernier, la famille endeuillée, si elle est noble et possède une crypte, peut décider de faire tailler une pierre tombale ou une statue en hommage à leur défunt. Ceux qui ne peuvent se le permettre, peuvent simplement afficher un portait de leur proche dans un endroit spécial de la maison.
La prostitution et l’esclavagisme
La prostitution Au sein du Royaume de Metzli, la prostitution est dans tout les cas assez mal vue. Il est dans les contrées de l'ombre évident qu'offrir son corps pour quelques pièces est une preuve d'échec et de déshonneur. Et tout le monde sait à quel point l'honneur et la réputation sont très importantes dans la société Metzlienne.
L'esclavagisme A Metzli cette notion existe, néanmoins elle est très surveillée. Il n'est en effet pas rare de voir des familles riches posséder des esclaves. Toutefois ces dernières sont tenues de subvenir convenablement à leurs besoins et à leur bien être. Les esclaves sont donc le plus souvent bien traités et tenus comme des serviteurs.
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Déesse Hylia
◈ Déesse Fondatrice ◈ La lumière bienveillante
Début de mon aventure : 15/11/2018 Messages : 991 ◈ Bourse de rubis : 438Titre : Déesse Race : Je fais partie des Dieux du monde Âge : Des siècles et des âges Inventaire : ○ Pouvoirs.○ Arme.○ Equipements.○ Monture.
Sujet: Re: Mœurs, coutumes et époque Sam 30 Jan - 12:37
Mœurs, coutumes et époque (Hébra)
Des informations précieuses
Les citoyens qui résident au sein du nouveau Royaume d'Hébra sont appelés les Hébraïens et Hébraïennes.
Egalité hommes et femmes
Les hommes et les femmes sont égaux en tout, d'ailleurs il n'est pas rare de voir des femmes puissantes posséder des terres et des titres prestigieux. Les hommes n'ont, de ce fait, aucun pouvoir de supériorité sur les femmes. Toute forme de sexisme ou de tentative de rabaissement d'une femme est très mal vu et peut être sanctionné.
Le passage à l'âge adulte
Pour les jeunes filles, elles passent à l'âge adulte lorsqu'elles ont leur puberté, où leurs corps se forment complètement et qu'elles ont pour la première fois leurs menstruations. Elles sont alors mariables et sont considérées comme des femmes.
Pour les jeunes garçons, ils sont considérés adultes lorsqu'ils atteignent l'âge de 16 ans. Ils peuvent alors être fiancés voir mariés, c'est à cet âge aussi qu'ils doivent être préparés à leur devoir de descendance.
La justice et la criminalité
Il faut garder à l'esprit que depuis le règne du Roi Kevan Cantell d'Hébra, le royaume possède des lois très strictes. Les règles sont dures, difficiles et sévères tout comme les jugements et les peines encourues pour les criminels.
Qui juge quoi ? A Hébra, la justice fonctionne de façon très simple : le Roi et le Chancelier sont les seuls à pouvoir prononcer un jugement et une peine. Ils sont parfois accompagnés de quelques personnalités issues de la noblesse qui agissent comme des conseillers extérieurs mais leurs avis peuvent également être ignorés.
Le déroulement d'un jugement Le jugement se déroule sous les yeux du Roi ou de son représentant choisi par ce dernier et du Chancelier. Il est également possible qu'ils soient accompagnés comme expliqué plus haut de quelques représentants de familles nobles nommées pour l'occasion qui exercent un rôle de conseillers. Seulement, leur voix n'est pas aussi importante que celle de la Couronne et du Chancelier. Les citoyens sont autorisés à assister aux jugements mais ils ne doivent en aucun cas interférer dans les affaires. Toute tentative sera punie.
Les peines, les sanctions Hébra se voulant sans criminalité ni trahison, la peine de mort sous toutes ses formes est pratiquée à l'issue des jugements de crimes extrêmement graves. L'exil et les supplices barbares font aussi partis des peines qui peuvent être décidées à l'issue d'un jugement. La prison à vie peut être également prononcée, jusqu'à même la destitution des titres d'un noble jugé et reconnu coupable.
Les mariages
Les mariages arrangés comme les mariages véritablement passionnels se font, l'un comme l'autre. Comme la plupart du temps, les mariages représentent de très bons moyens de nouer des alliances entre familles, que ce soit pour assurer ses arrières ou promettre un avenir meilleur à la lignée.
Les cérémonies Les cérémonies se tiennent le plus souvent au sein d'un temple ou devant un autel qui représente la divinité reconnue par les deux futurs époux. A savoir que depuis l'indépendance d'Hébra, se marier devant Hylia n'est pas très bien perçu aux yeux des citoyens Hebraïens dont l'allégeance revient au Roi. Hylia représentant l'ennemie. Les couleurs associées aux mariages sont généralement très vives et les mariés échangent chacun à leur tour, alliance et capes brodées aux blasons familiaux respectifs. Mais ce dernier élément ne s'applique qu'aux mariages nobles, pour les autres cérémonies, quelque chose de plus simple est pratiqué - à savoir le simple échange de bijoux. Sous l'influence des Yigas présents au sein du Royaume d'Hébra, certains mariages sont célébrés plus discrètement de la même façon que les Yigas célèbrent leurs unions. Uniquement dans le cas où les époux reconnaissent et vénèrent l'Avatar du Néant. (Voir l'annexe des Landes Sauvages plus bas).
Les divorces Divorcer est un acte déshonorant. A la fois pour les familles touchées, mais aussi pour les deux époux qui n'ont pas su tenir leurs engagement respectifs. Cependant, les divorces peuvent être prononcés si aucun enfant n'a été conçu ou si d'autres motifs motivent cette décision. Notamment dans le cas de violences ou de décès par exemple. Dans ces cas-là, le divorce peut être prononcé et les deux anciens époux peuvent se remarier.
Les héritages
L'ordre de succession respecte l'ordre de naissance des enfants. Fille comme garçon, l'héritage revient à l'enfant aîné, quelque soit son sexe. Il n'est pas possible de déshériter son enfant, et ce, même s'il n'est pas apprécié des parents. Toutefois, il est possible de retirer à un enfant son droit légitime d'héritage dans le cas d'une trahison ou d'un crime grave.
Le deuil
A Hébra, le deuil est quelque chose de très intime, que l'on expose pas toujours aux autres. Bien que pour les grandes personnalités influentes du Royaume, il y a beaucoup plus de bruits qui courent lors des cérémonies. Il n'y a pas de couleur de deuil ni même de durée actée en Hébra, de ce fait, la vie continue et ne doit pas s'arrêter.
Rituels de funérailles Le plus souvent, ce sont les enterrements qui sont privilégiés, afin de laisser reposer les défunts dans un cimetière ou une crypte familiale. Les bûchés funéraires ne sont pas toujours très bien perçus, les Hébraïens préfèrent donc enterrer leurs proches défunts en faisant tailler une pierre tombale le plus souvent.
La prostitution et l’esclavagisme
La prostitution A Hébra la prostitution est chose courante et est un métier comme les autres, seulement, la présence des maisons de plaisirs reste assez discrète. Certaines femmes de joie sont d'ailleurs très respectées et sont de dangereuses femmes d'affaires, reconnues pour leurs talents de manipulation et de négociation. La prostitution peut être également autant féminine que masculine, bien que les gigolos soient largement plus dénigrés.
L'esclavagisme La notion d'esclavagisme est prohibée dans le Royaume d'Hébra et est punie sévèrement par la loi. Il est en effet interdit de marchander des vies dans le royaume ; néanmoins il n'est pas rare de voir des parents vendre leur enfant pour leur offrir un avenir meilleur - chose qu'ils font évidement de manière hors la loi à leurs risques et périls.
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Dernière édition par Déesse Hylia le Sam 30 Jan - 17:27, édité 4 fois
Déesse Hylia
◈ Déesse Fondatrice ◈ La lumière bienveillante
Début de mon aventure : 15/11/2018 Messages : 991 ◈ Bourse de rubis : 438Titre : Déesse Race : Je fais partie des Dieux du monde Âge : Des siècles et des âges Inventaire : ○ Pouvoirs.○ Arme.○ Equipements.○ Monture.
Sujet: Re: Mœurs, coutumes et époque Sam 30 Jan - 12:37
Mœurs, coutumes et époque (Landes Sauvages)
Des informations précieuses
Les citoyens qui résident au sein du nouveau Royaume des Landes Sauvages sont appelés les Landiens et les Landiennes.
Egalité hommes et femmes
Dans la société Yigas, il n'y a officiellement aucune cassure entre homme et femme. Le sexe importe peu, seuls les actes et compétences comptent véritablement. Il est d'ailleurs courant de voir une femme parmi les supérieurs du clan ou soldats d'élite. Cependant, même s'il y a une certaine parité dans les violences, les femmes se font plus souvent violer que les hommes, mais parallèlement, les femmes combattantes ont la réputation d'être bien plus violentes et cruelles que leurs homologues masculins.
Le passage à l'âge adulte
On n'est adulte, chez les Yigas, qu'une fois que l'on a reçu le premier sacrement. Les enfants de membre du clan sont dès l'âges le plus tendre, éduqués au sein des "Enfants de l'Avatar". C'est ce groupe qui s'occupe d'éduquer les enfants Yigas, ce qui fait que tout guerrier part avec exactement la même éducation. Un bon Yigas sait lire et écrire. Mais ce groupe permet aussi de transformer ses enfants en fanatiques au service du clan et de l'avatar. Ce groupe donne à l'âge de 12 ans, le premier sacrement, celui du premier sang. Deux aspirants doivent s'affronter au nom de l'avatar dans un duel honorifique. Ils doivent tuer leur adversaire. Le gagnant gagne ainsi le droit de devenir un adulte.
La justice et la criminalité
La justice est un bien grand mot dans ces terres soumises désormais à la volonté de l'Avatar. De justice ne reste que le sang et un étrange sens de l'honneur.
Qui juge quoi ? La seule justice qui prévaut est celle de l'Avatar. Ainsi la plupart des affaires judiciaires se règlent par un duel entre les champions des deux partis. Laissant l'avatar choisir le gagnant. La seule personne apte à passer au-delà de cette règle est le roi Ganondorf, champion de l'Avatar.
Le déroulement d'un jugement Les deux partis se mettent d'accord sur une heure et sur un lieu. À cette heure se présente le champion de chaque camp. Le premier champion qui tue ou soumet l'autre donne raison à son parti. Seule exception, si Ganondorf rentre dans le conflit et annonce par lui-même le résultat du procès.
Les peines, les sanctions Les seuls actes punissables par la loi sont les hérésies envers l'Avatar. Les punitions peuvent aller du coup de fouet pour avoir prié une autre divinité que lui, à la mort pour le cas de trahison envers lui et le clan, comme la fuite du clan ou du champ de bataille.
Les mariages
La société Yigas a beau être violente, le mariage fait grandement partie de la société. Il n'existe aucune vraie limite dans le mariage, la société étant finalement assez ouverte sur la chose. Les mariages des couples homosexuels est tout aussi normal et sans aucun jugement, tout comme les mariages de trouple. Seule une obligation d'être entre membre du clan ayant obtenu le premier sacrement est autorisé. Une sorte de règle tacite n'autorise le mariage qu'à partir de l'âge de 16 ans minimum, histoire de voir si le parti d'en face est digne de partager sa vie avec l'autre.
Les cérémonies La cérémonie est la même qu'à Hyrule à la différence près que des armes sont offertes par les convives aux mariés. Le mariage est plus sanglant, car étant bien sûr d'une tradition liée à l'Avatar, un sacrifice animalier est obligatoire. Les deux mariés doivent sacrifier ensemble le même animal en demandant à l'Avatar de pouvoir le rejoindre ensemble une fois leur heure venue. La viande de l'animal sacrifier sera coupé alors en deux parties, les parties moles, la peau et les os sont brulés en l'honneur de l'avatar. Les mariés doivent consommer la viande crue de l'animal et morde tout d'eux une bouchée. Le reste de la viande sera ensuite cuisinée et consommée durant le banquet qui suit dont le faste dépend des moyens et du rang des Yigas qui se marient.
Les divorces Les divorces sont impossibles, car une fois la volonté de vivre ensemble énoncée devant l'avatar, il n'y a plus moyen de faire machine arrière. Cependant, comme la vie sexuelle est indépendante de la vie sentimentale, le fait de coucher hors de son lit conjugal est une chose normalisée chez les Yigas, il n'y a que rarement des tensions sur ce sujet. La mort étant le moyen le plus simple de se débarrasser du mari ou de l'épouse, on peut aussi régler cela au milieu de l'arène.
Les héritages
Un Yigas prend ce qu'il souhaite être sien. Un Yigas se fait donc seul, selon ce principe. Il n'y a officiellement pas de notion d'héritage. Cependant, dans les fait, on remarque que les Yigas qui ont des parents hauts-placés ont tendance à garder un peu du nom de leurs parents, mais cela n'est pas une obligation. Si le fils ne se fait pas un nom par lui-même, le nom des parents seul ne suffit pas. La notion de transmission de biens et de titre par le sang ou le lien marital est aussi impossible, c'est justement une chose particulièrement mal vue par les Yigas qui appellent cela de "l'hérésie Hylienne".
Le deuil
La mort est une chose normale parmi le clan. Et malgré les apparences, il y a un grand respect pour la notion de deuil. Les veufs ou veuves étant rarement embêtés si sa moitié est morte d'une mort honorable. Il n'y a rien de déshonorant de pleurer la perte d'un proche, mort au nom du clan et de l'Avatar. Il est cependant mal vu de pleurer un faible ou un traitre.
Rituels de funérailles Les membres du clan sont adeptes de la crémation des corps. Ils offrent ainsi ce dernier au feu et donc à l'Avatar de manière indirecte. Seul le cadavre des non-initié et des esclaves, est jeté dans une fosse commune à ciel ouvert où les animaux pourront profiter de leur cadavre. Il est aussi possible de prendre la tête d'un ennemi qu'on considère comme méritant et de l'exposer au sein de sa maison, en tant que trophée. À la mort de celui qui les a tués, les têtes seront brulés dans le même bucher que leurs propriétaires. Un moyen de rendre hommage aussi à ces hommes qui ont combattu vaillamment, la force étant très respectée dans le clan.
La prostitution et l’esclavagisme
La prostitution La prostitution, comme on la nomme, n'est possible que pour les esclaves et tout le monde peut en profiter. Les membres du clan ont cependant une forme de primauté sur les choix des filles et garçons. Les prostituées ont cependant une certaine forme de respect, ayant parfois des protecteurs parmi les membres des Yigas et donc autant de champion potentiel en cas de soucis. Ce n'est pas non plus vu comme un métier dégradant contrairement à Hyrule. Une forme de prostitution existe parmi les membres du clan dont la sexualité ne possède aucun contrôle. On dit alors qu'ils se donnent, pour la différencier de la prostitution des esclaves. Ce n'est absolument pas mal vu.
L'esclavagisme L'esclave est la base de la société Yigas. Les Yigas font des esclaves avec tout ce qui leur tombe sous la main et les membres du clan ont tous les droits sur eux. Cependant, si un esclave impressionne par sa force et sa compétence, il pourra obtenir le titre de membre du clan et être considéré comme tel. Le premier sang sera alors de tuer un autre esclave au nom de l'Avatar et ainsi prouver sa détermination à rejoindre les Yigas. Il est donc plus simple pour un esclave de devenir membre qu'un natif. Les natifs sont cependant souvent bien plus forts que les esclaves, car créés et formés par le clan depuis l'enfance. Beaucoup de personnes rejoignent le clan en devenant un esclave dans l'espoir d'une meilleure vie que celle de roturier, car le clan nourrit et loge même les esclaves ce qui est toujours plus enviable que de mourir de faim et de froid dans une rue de la citadelle. Les esclaves servent majoritairement pour les travaux pénibles comme la construction et les mines. Il y en a qui travaillent aussi dans les ateliers et fermes possédés par un membre du clan, ils sont en général mieux traités, car plus utiles.
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Dernière édition par Déesse Hylia le Sam 30 Jan - 15:07, édité 5 fois
Déesse Hylia
◈ Déesse Fondatrice ◈ La lumière bienveillante
Début de mon aventure : 15/11/2018 Messages : 991 ◈ Bourse de rubis : 438Titre : Déesse Race : Je fais partie des Dieux du monde Âge : Des siècles et des âges Inventaire : ○ Pouvoirs.○ Arme.○ Equipements.○ Monture.
Sujet: Re: Mœurs, coutumes et époque Sam 30 Jan - 12:41
Mœurs, coutumes et époque (Îles)
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Les citoyens qui résident au sein des Îles Libres sont appelés les Insulaires Libres.
Egalité hommes et femmes
Dans les Îles Libres, l'égalité entre les Hommes et les Femmes est clairement établie et ce, depuis très longtemps. Il n'est pas rare de voir des femmes exercer des métiers « d'hommes » avec tout le respect qui s'impose. C'est normal et personne ne se pose de questions sur le sujet. Dans les Îles Libres, ce qui prévaut c'est la qualité d'un ouvrage, d'un travail mais aussi le respect d'une parole, d'un deal ou d'un contrat. Si un Homme ou une Femme sait respecter ce socle commun à la société des Îles Libres, alors le reste n'a pas d'importance.
Le passage à l'âge adulte
Chaque citoyen libre d'une des cinq Îles Libres « appartient » au Chef de l'Île. Il lui prête allégeance à l'aube de ses 12 ans, s'engage à respecter la loi de l'Île et les décisions du Chef, de le soutenir et de faire prospérer sa communauté. Cet engagement se fait au cours d'une cérémonie lors du passage de la Saison Des Fleurs à celle des Chaleurs. Tous les enfants de 12 ans révolus sont invités dans le Grand Hall de leur île. Ils y prêtent serment et reçoivent en échange, un bracelet de métal qu'ils porteront toute leur vie, au poignet gauche. A partir de cet instant, ils sont considérés comme des adultes avec un sens de la responsabilité qui devra s'apprendre auprès des plus grands. Perdre ce bracelet est vu comme un déshonneur. Se le faire voler est encore pire.
La justice et la criminalité
La justice des Îles essaie d'être à la fois la plus équitable et transparente que possible. Les procès se déroulent toujours en public à de rares exceptions dans le Grand Hall de l'île où siègent le Chef et son Prévôt.
Qui juge quoi ? Le Chef de l'Île ne gouverne pas seul. Il est entouré de divers Conseiller-es dont l'un, le Prévôt, est préposé à la justice. Il est la voix du Chef en ce qui concerne l'application des Lois et Édits. Le Prévôt s'occupe majoritairement des affaires communes telles que le vol, l’escroquerie et autres délits de cette teneur. Il gère aussi les litiges commerciaux de tous bords. En revanche, le meurtre, le viol et autres crimes du genre, sont du ressort du Chef de l'Île.
Le déroulement d'un jugement Dans les Îles Libres, la justice est rendue au terme d'un procès qui se veut le plus équitable possible. On appelle des témoins oculaires – plus ou moins fiables, ça peut arriver – et c'est au présumé coupable d'assurer sa défense grâce à – ou à cause de - ces derniers. Au terme des auditions qui sont pour le moins rapides et concises, le Prévôt ou le Chef se retire le temps de la délibération avant d'annoncer son jugement. Les audiences sont publiques et il n'est pas rare que ça se transforme en véritable foire d'empoigne pour se calmer aussitôt.
Les peines, les sanctions Elles sont diverses mais surtout en adéquation avec les délits et crimes reprochés. Cela va du remboursement avec intérêts d'un bien volé à l'emprisonnement sur un des atolls pénitentiaires des Îles pendant un temps déterminé voir l'exil. Pour les crimes les plus délicats et odieux, c'est la mort. Œil pour œil. Dents pour Dents. Ni plus, ni moins. Le déclaré coupable est jeté par le fond, lesté d'une pierre pour mourir noyé au fond de l'océan où il nourrira les poissons. Entre ces deux opposés, un Citoyen Libre peut perdre justement ses droits, on lui enlève son bracelet, saisit ses biens puis il devient un esclave pendant un temps déterminé. Cela se voit surtout dans les procès pour trahison, corruption ou escroquerie. Tout ce qui touche aux biens usurpés ou à la lutte de pouvoir. Pour les Esclaves, malheureusement la justice est tout autre. Plus expéditive et moins clémente. Ce ne sont que des marchandises après tout malgré une valeur pécuniaire certaine.
La foi
Dans les Îles Libres, la religion principale est celle des Esprits Gardiens. La nature, la mer, le vent ont une importance toute particulière pour les habitants des îles qui se sont alors tout naturellement tournés vers le culte de Valoo, Jabu et l'Arbre Mojo. Cependant, ce n'est nullement une "religion d'état". Une certaine liberté de foi est tout de même admise dans cette partie du monde. On ne verra pas d'un mauvais œil, des fidèles de la Déesse Hylia par exemple. Le tout cohabitant finalement avec une certaine harmonie et en bonne intelligence.
Les mariages
Le mariage n'est pas un acte sacré en soit. La société des Îles Libres reste très laxiste sur le domaine, la foi des Gardiens n'étant pas régie par des dogmes tel que celui-ci. Il existe de nombreux couples dans les Îles qui s'aiment sans avoir besoin d'une quelconque bénédiction ou union officielle. Cependant, le mariage existe tout de même pour ceux qui le désire. Il n'est possible qu'entre citoyens libres et adultes. Les esclaves n'étant pas reconnus en tant que citoyens n'ont pas le droit de se marier. Si tant est qu'il existe des unions entre esclaves, celles-ci ne sont clairement pas officielles. Si les deux époux viennent de deux Îles différentes, ils doivent choisir un seul lieu de résidence et l'époux qui s'installe devient citoyen du Chef de son île où il habitera désormais.
Les cérémonies La cérémonie du mariage se déroule dans un Sanctuaire dédié aux Gardiens ou au Gardien tutélaire choisi par le couple. Il est officié par un-e prêtre-sse avec la présence d'un représentant du Prévôt en charge d'officialiser la chose de manière administrative. Afin d'acter le mariage, les deux époux reçoivent un nouveau bracelet fait d'un métal doré où leur prénom sont gravés respectivement à l'intérieur puis échangés entre mari et femme.
Les divorces Il n'est pas difficile de divorcer dans les Îles Libres. Encore faut t'il pouvoir donner une bonne raison et le prouver : adultère, abandon, négligence, violence. Ce sont les uniques conditions où un officier du Prévôt acceptera de dissoudre l'union. Les bracelets d'époux seront fondus, les biens séparés équitablement et chacun reprendra sa route de son côté.
Les héritages
Un héritage est possible de manière automatique si il y a mariage. Dans ce cas, les biens reviennent automatiquement à l'époux restant encore en vie. A sa mort, ils sont répartis équitablement entre les enfants si il y en a. Sinon, reversé aux caisses de l'Île. Sans mariage, l'un des concubins doit prendre ses dispositions auprès d'un représentant du Prévôt faisant office de notaire. A noter que ces dispositions peuvent être discutées par la famille, les enfants... ce qui n'est pas possible en cas de mariage.
Le deuil
Il n'y a pas réellement de culte des morts dans les Îles Libres, mais plutôt des Ancêtres que l'on considère toujours comme une partie de la famille avec une certaine superstition en cas de malheur ou de bonne fortune. Les citoyens des Îles sont même optimistes sur la chose et pensent que les défunts sont désormais en train de profiter d'une vie plus belle et plus tranquille auprès des Gardiens.
Rituels de funérailles Du fait d'une place clairement restreinte sur les Îles Libres, il n'y a pas de cimetières. Les funérailles ont lieu le lendemain du décès et sont organisées par la famille de manière assez "festive". Processions, offrandes, suivent le corps du défunt qui sera "offert" au Gardien tutélaire de ce dernier. Plus ces dernières sont fastueuses, plus le défunt était important. Par exemple, les fidèles de Jabu sont envoyés sur des embarcations vers le large. Les fidèles de Valoo sont incinérés et leurs cendres dispersées au quatre vents quand celle des fidèles de l'Arbre Mojo seront enterrés dans le sable. Les plus riches ou célèbres défunts des Îles peuvent voir leurs cendres enterrées dans les trois Amphithéâtres dédiés aux Gardiens. Les Esclaves ont droit a un simple bucher funéraire puis ils disparaissent comme si de rien n'était.
La prostitution et l’esclavagisme
La prostitution Sur les îles, la prostitution est chose courante et est un métier comme les autres. Certaines femmes de joie sont d'ailleurs très respectées et de dangereuses femmes d'affaires, reconnues pour leurs talents de manipulation et de négociation. La prostitution peut être également autant féminine que masculine, bien que les gigolos soient un peu plus dénigrés.
L'esclavagisme Ce n'est en revanche pas tout à fait le cas dans la Mer des Cieux et les îles libres, surtout sur Mercant'île, l'île du Croissant et l'île de la forteresse abandonnée. En effet, dans ce royaume et ces îles la notion d’esclavagisme est à son paroxysme. Il existe à ce jour de nombreux trafiques d'esclaves qui sont traités véritablement comme des marchandises, surtout dans le monde de la piraterie. Il n'est donc pas choquant de voir un riche commerçant battre son esclave qui lui a désobéi en pleine rue.
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Sujet: Re: Mœurs, coutumes et époque
Mœurs, coutumes et époque
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