RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

An 1000, Lune 2, Jour 7

Alors que les esprits doivent se ressaisir et se remettre des récents événements, la Couronne d'Hyrule appelle à une réunion de la plus haute importance. Tous les conseillers de la reine d'Hyrule, Zelda Nohansen, les nobles de la Cour ainsi que de nombreux soldats et Gardes Blancs sont appelés à se joindre à l'Assemblée qui se tient dans la Salle du Conseil au sein du château royal de la Citadelle d'Hyrule.
En effet, la réunion de cette fin de matinée est placée sous la plus haute importance et la plus grande surveillance. Un prisonnier membre de l'organisation des Yigas a été capturé et livré par une noble Twilienne au nom du royaume de Metzli, suite au Millénaire de l'Unification. Un prisonnier pouvant délivrer de précieuses informations si toutefois, il se met à parler. À ce propos, les âmes les plus sensibles aux actes de force et de torture seront certainement amenées à détourner les yeux si de telles choses doivent arriver.

La salle a été re disposée pour cette occasion unique pour former un hémicycle dans la salle avec de nombreux sièges destinés aux personnes présentes en ce jour. Des Gardes Blancs sont alors postés aux quatre coins de la salle et se dressent comme un bouclier sécuritaire, les soldats ont pour seule consigne de surveiller le moindre fait et geste de chacun. Le moindre comportement suspect sera dénoncé immédiatement et les conséquences en découleront. Au centre de l'hémicycle se trouve la place réservée à la reine, qui sera entourée de ses conseillers qui se trouvent à sa gauche ainsi qu'à sa droite. De nombreux Gardes Blancs seront disposés tout autour afin de garantir une protection maximale à la jeune souveraine ainsi qu'à ses conseillers. Plus en arrière et tout autour du demi-cercle formé par les sièges de la Couronne se trouvent les sièges réservés aux nobles autorisés à assister à la séance. Là encore, des soldats vont être postés près de ces sièges à la fois par sécurité, mais aussi pour assurer une bonne surveillance dans l'ensemble.

Les esprits sont encore marqués par l'absence la plus remarquable de celui que l'on surnomme le Prince Ailé, cousin de la reine d'Hyrule, désormais retenu prisonnier quelque part auprès des Yigas. Mais il n'y a pas seulement lui, beaucoup d'autres innocents ont été enlevés par la force et le temps est compté pour eux. C'est pourquoi il a été décidé de faire parler ce prisonnier Yiga afin qu'Hyrule en sache plus et puisse obtenir des informations capitales pour parvenir à libérer les citoyens d'Hyrule kidnappés. Quitte à employer des moyens beaucoup plus fermes.

Petit à petit, la salle se remplit... L'heure approche.

BREATH OF HYRULE

RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

Asumi & other

An 1000, Lune 2, Jour 7.
Le jour de la torture publique est arrivé, enfin, de l'interrogation publique. Voilà plus d'une lune que le Yigas est enfermé dans nos geôles. Si cela tenait qu'à moi, je l'aurais torturé dans l'ombre des cachot, mais Zelda a voulu le faire comme ça devant la cour. Je lui laisse les subtilités de la politique sans aucun remord, elle est notre nouvelle reine et en tant que chevalier et amie, je dois montrer l'exemple. Je suis placé en bas de l'estrade, proche de Zelda, à sa droite et j'observe tous ce beau monde rentré. Conseiller, membre de l'armé, ou bien simple curieux, les profils sont très différents et autant de menace potentielle pour Zeldouille.

Zeldouille, voilà un bien curieux pseudonyme. Enfant, je l'appelais comme ça parce que ça faisait mignon. Zeldouille et Asuminette, il me semble bien loin le temps alors que je pose mes yeux sur elle. Enfant, nous jouons ensemble à la princesse et au chevalier, mais aujourd'hui, nous ne jouons plus et probablement que nous n'aurons plus ses temps de complicité avant de nombreuse lune. Il faut dire que jouer à chat ne convient plus à nos rôles. Enfin, je devrais me concentrer sur le présent plutôt que de faire remonter le passé. Je retourne mon regards sur le Yigas.

Le voilà, la bête enchaînée. Il a l'air fort, malgré une lune enfermé. Je me demande bien comment la lady Anju a put l'attraper. Elle a avoué avoir eu de l'aide, mais n'a pas souhaité nous donner de nom à la demande des intéressé. J'ai l'intime conviction qu'elle tente de les protéger de nous. J'ai entendu de drôle d'histoire sur sa famille et pas toutes son particulièrement positive. Mais dans tous les cas, avec aide ou pas, elle doit être une sorcière assez forte pour être arrivé à capturer un officier Yigas vue la situation.

Je sers mon bâton en me rappelant que je n'étais pas là, j'ai vraiment manqué à tous mes devoirs ce jour-là. Peut-être que si je serai partie un jour plus-tôt, Zachary serait peut-être encore là. Enfin, Hylia seule sait ce qui aurait put se passer. Je regarde la pièce et cherche toute personne suspecte. J'espère que ses informations seront utiles pour libérer le prince et les victimes.

(c) DΛNDELION

D'ordinaire les interrogatoires étaient fait en privée. Sans aucun public ou noble pour assister à ce genre de scène qui pouvait devenir sanglante. En tant que conseiller, Aerys y avait mit les pieds plusieurs fois. La torture s'arrêtait souvent rapidement heureusement car l'hylien ne supportait pas vraiment les violences physiques. Il préférait la subtilité par exemple avec du poison qui vous faisait vomir vos tripes ou qui vous donnait un mal de ventre tellement insupportable qu'il était impossible de se lever.

Mais cette fois-ci la reine avait décidé de d'interroger ce yiga prisonnier depuis quelques lunes maintenant, avec une audience. Naturellement, Aerys se trouvait au côté de sa majesté et il n'était pas non plus très à l'aise à l'idée d'être ainsi regarder par des sinistres inconnus. La présence de son frère ne le réjouissait pas non plus car depuis leur dispute, il avait tout fait pour l'éviter. Aelys devait aussi venir avec Naboris. Il espérait que la jeune piaf n'allait pas le dénoncer lui ou Meira. Il ignorait comment mais la jeune femme avait deviné que le conseiller était du côté de l'Avatar du Néant. Cela dit elle pensait que c'était à cause de son épouse alors au fond ce n'était pas grave.

La question était de savoir aussi s’il n'y avait pas un traitre parmi la foule prête à s’installer. Lui-même en était plus ou moins un, ce qui était assez drôle. Heureusement, seulement Naboris était au courant de son partenariat avec l'Avatar du Néant et jamais elle n'irait le crier sur les toits. Bien évidement il y avait aussi Meira puisque c'était elle qui l'avait convaincu que le Mal était la meilleure divinité à prier. Il ne savait pas d'ailleurs si son épouse allait venir ou non à l'interrogatoire. Ce yiga était un cadeau de dame Anju mais pouvait être un poison pour sa chère femme. Aerys avait un peu parlé avec l'étrangère suite à sa venue avec la citadelle tout comme il avait eu aussi une discussion avec la reine Midona pour tâter le terrain. Il avait appris pas mal de choses et notamment sur la fameuse couronne. Pour le moment il n'avait pas vraiment eu le temps de se pencher sur ses recherches avec Ganondorf et les siens qui préparaient surement quelque chose en ce moment. Hyrule se trouvait actuellement en sursis et le prisonnier pouvait peut-être ou pas, éclairer l'avenir qui s'annonçait bien sombre.

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

La brune avance d'un pas rapide dans les couloirs du château. Sa nouvelle amie doit l'attendre ... Voilà plusieurs jours que Naboris à rencontrer, par l'intermédiaire d'Aerys, une jeune Piaf rescapée de l'attaque. Cette dernière a raconté son récit et a capté l'attention de la jeune fille qui fut chagrinée. Cette pauvre piaf avait été blessée et avait vu, tout comme elle, son ami décédé. Pas une seule minute où elle ne pense pas à Akasha ... Mais de toute façon, aujourd'hui ... Le Yigas devra se repentir ! Voyant la blonde, Naboris sourit. "Bonjour Aelys. Vous êtes radieuse et vous semblez aller mieux. Venez, allons-y." La dernière fois qu'elle l'avait vu, Aelys était encore souffrante, son aile avait été sévèrement touchée et infectée. Sans Aerys ... La jeune piaf aurait pu mourir surement. D'ailleurs, Naboris avait bien vu la passion dans les yeux de la jeune Piaf quand elle parlait du conseiller. Naboris avait Aerys dans son coeur car elle savait qu'il pouvait être sauver de l'avatar et de ses chimères, c'était d'ailleurs une des raisons pour lesquelles elle ne l'avait pas dénoncé et qu'elle l'aider à maîtriser son pouvoir. Et si la jeune Piaf était son salut ... Naboris ferait tout pour ouvrir les yeux à son ami. Prenant le bras d'Aelys, elles avancent vers la salle prévue pour le "jugement" du Yigas. En entrant, les yeux de la jeune Gerudo inspecte la salle ... comme si elle croyait qu'elle y verrait Kolher. Mais c'était impossible, n'est-ce pas ? Il ne serait pas là puisqu'il avait disparut. Le coeur de Naboris se resserre une nouvelle fois et Aelys la regarde, inquiète. "Ce n'est rien, allez donc vous installer et si quelqu'un vous demande, dite simplement que vous êtes avec moi. Je vais derrière Zelda. Et ne vous en faite pas, tout ira bien ... Les gardes sont là, vous avez le frère d'Aerys présent ainsi qu'Aerys lui-même et je ne permettrais pas qu'on vous fasse du mal." Elles ont 7 ans d'écart, Aelys étant son aînée mais Naboris était clairement plus forte que la jeune Piaf, ce qui poussait surement la Gerudo à protéger sa nouvelle amie. La quittant, elle se place derrière Zelda, glissant un bonjour ma reine avant de venir près de l'oreille d'Aerys "Bonjour. Aelys est ici, elle vous passe le bonjour. J'ai tenté de la rassurée mais elle semble terrifiée ... Après tout ça, vous pourriez aller la voir ? Je tâcherais de distraire votre ... femme." Le ton était très bas et calme, elle savait qu'Aerys ne la voyait pas comme une ennemie et Naboris ne le voyait pas non plus comme tel.

(c) DΛNDELION

Hyrule face au Yiga prisonnier

Zelda & autres

An 1000, Lune 2, Jour 7. C'est dans un silence mordant et froid que la reine d'Hyrule est entrée dans la salle, suivie de très près par plusieurs gardes dont probablement son Garde Blanc personnel et bien-aimé. Aujourd'hui il n'est pas question de faire de la bienveillance ou bien faire preuve de tendresse. Il s'agit de l'ennemi ayant assassiné de sang-froid son père, feu le Roi d'Hyrule, et a ainsi kidnappé beaucoup d'innocents... y compris Zachary. Le deuil est fatalement difficile pour Zelda qui pourtant, tente de voiler son visage tiré par la fatigue et la nervosité en cet instant. La tristesse mêlée à la colère, son cœur réclamant vengeance sans plus attendre, la reine se doit désormais de faire le tri dans ses émotions afin de ne pas être commandée par ces dernières. Vêtue d'une longue robe teintée de noir et d'étoffes aux couleurs azurées foncées, Zelda tient dans sa main droite sa rapière héritée de sa défunte mère. Ses yeux bleutés parcourent la pièce d'un bout à l'autre, observant les visages déjà présents et ceux n'étant pas encore là. De sa démarche silencieuse mais gracieuse, Zelda finit par aller s'installer à sa place attitrée au centre du demi-cercle formé par les sièges qui l'entoure. Une fois assise, Zelda place sa rapière contre elle alors qu'elle lance un regard un peu plus bienveillant à ces alliés les plus proches, toutefois, elle ne parvient pas à leur sourire comme à son habitude. Le ton et l'ambiance de la salle étant bien trop lourdes et pesantes pour songer à ne serait-ce que sourire comme si de rien n'était.

« Soyez réactifs, au moindre mouvement suspect, je veux que vous soyez réactifs. Je place ma pleine confiance en vous pour qu'aucun risque ne soit pris aujourd'hui. »

Glisse-t-elle à l'attention des gardes placés tout autour d'elle, y compris à l'attention de ses proches amis et alliés. La voix de Zelda paraît tremblante dans un premier temps mais on ressent beaucoup plus sa nervosité ainsi que sa colère vengeresse dans le timbre de sa voix qui d'habitude, rayonne naturellement. Reine ensoleillée endeuillée par la perte de son père et attristée de ne plus pouvoir compter sur le soutien et la présence de son cousin. Répondant enfin à la salutation de son amie, Naboris qui vient de s'installer dans son dos, Zelda lui glisse une main sur la sienne en guise de réponse. Son attention revient enfin sur ce « Yiga », enchaîné et bien gardé afin qu'il n'essaie pas de se délivrer ou de faire quoi que ce soit qui obligerait la reine à prendre la décision de l'éliminer.

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

Aujourd'hui, il se passait un évènement important. Il s'agissait de l'interrogatoire d'un Yiga, lors des festivités du Millénaire de l'Unification. Tout ceci allait être public, pour que tout le monde puisse assister au spectacle. Il y avait beaucoup de monde ce jour-là. La salle était installé d'une façon particulière. Pour que tout le monde puisse faire face au prisonnier, installé au centre de la pièce. Meira se souvenait avoir été chez les Yiga, peu après leur création. Cela remontait à des années et elle ignorait l'identité du prisonnier.

Quand elle entra dans la salle, elle reconnu quelques visages dans la foule. Son époux était installé non loin du fauteuil de la Reine. A travers la foule, elle vit le visage de la jeune Aelys, la Piaf qui n'arrêtait pas de suivre du regard son époux. Meira était jalouse et par moment, elle ne prenait pas la peine de le cacher. Mais ce n'était ni l'endroit ni le moment pour confronter la blonde.
Pas la peine de ce donner en spectacle ! Surtout en ce moment !

Tous les gardes étaient tous sur le pied de guerre. Tous étaient prêts à intervenir si jamais la situation devenait critique. La tension était palpable. Personne ne savait ce qui allait ce passer. Comment la Reine allait faire pour faire parler le Yiga ? Il n'allait pas lâcher ces secrets aussi facilement. Ah moins qu'il ne s'agisse d'un piège.

Personne ne pouvait savoir ce qu'il pouvait penser dans sa tête.

Meira était installée avec d'autre noble et attendait, comme tout le monde, le début de l'interrogatoire.
Même si son cœur était pour l'Avatar, le temps avait fait son œuvre et elle se demandait quelles secrets le Yiga allait dévoiler. Et surtout, allait-il parler ? La reine avait des responsabilités, pour son peuple et pour Hyrule, elle devait avoir des réponses. Pouvoir prendre l'avantage sur les Yigas, sur leurs manigances. Et pour pouvoir libérer les prisonniers qui était enfermés suite à l'attaque des Yigas.

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

An 1000, Lune 2, Jour 7.
Jacerys n’est pas réellement à l’aise avec ce qui s’annonçait aujourd’hui. C’est une première dans l’histoire d’Hyrule, l’interrogatoire d’un prisonnier des plus précieux mais en audience. L’homme avait pu dire son avis mais le Chevalier quant à lui, se rangeait à la décision de sa Reine. Ainsi se composait désormais la vie de l’Argenté, devant jongler entre deux facettes de son existence. Le prix du secret, c’est ainsi. Silencieux, le Garde Blanc se trouvait en contrebas du siège occupé par la Reine. L’un des derniers remparts entre un possible assaillants et sa bien-aimée majesté. Jacerys est si loin de penser que un traître se tenait juste à ses côtés, à portée de poignard si l’envie l’en prenait. Et son propre frère qui plus est. Tous les deux ne se sont revus depuis leur dernière discussion et ça aussi, ça lui pèse sur le coeur. Manque de temps ? Doutes ? Fierté ? Tant de choses qui empêchaient l’aîné de retrouver son cadet une bonne fois pour toute. Sans compter sur ce qu’il a crû voir ce jour là s’agiter dans les tréfonds de l’âme du Conseiller. La noirceur, quelque chose de sombre, de dangereux aussi. Intuition ou fable de son esprit, il n’en sait rien.

Les hésitations et les soucis du Chevalier d’Opale ne doivent plus avoir court maintenant qu’il pénétrait dans la salle d’audience à la suite de la Reine et des Conseillers. Ici, toute son attention devait être tournée vers son environnement mais aussi, le Yiga, mécréant qu’il n’hésitera pas à fendre en deux au moindre geste déplacé. Sans aucun remords. Au final, seul lui imposait la vie de Zelda et au diable la vie qu’il défendait de sa lame depuis tant d’années. A son tour d’avoir le coeur qui s’assombrit sous la peur de perdre la seule femme qu’il n’ait jamais aimé. Tout cela, personne ne peut le voir tandis que son regard et la moitié de son visage est dissimulé sous la visière de son casque surmontée de l’étoile à huit branches du blason des Thorvald. Un signe distinctif octroyé pour un Garde De Blanc d’un rang noble. Son attention ne manque pas de lui faire remarquer la présence de certaines têtes connues, d’autres moins. Toutes venues écouter ce que le prisonnier aurait à dire, de grè ou de force.

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RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

An 1000, Lune 2, Jour 7

La salle se remplit autant de nobles que de badauds venus voir l’un des bourreaux d’Hyrule enfin être jugé. Mais avant cela, il devra parler et les forces en présence, dédiées – ou presque – à la Couronne Hylienne, n’allaient pas râter leur chance. Voilà trop longtemps que nombre de sujets de la Reine sont prisonniers, sans compter le propre cousin de cette dernière. Cela fait trop longtemps que les Yigas ont saigné à blanc le Royaume et sa population. Il est temps de payer et au prix fort.

Quand tout le monde est à sa place, qu’un silence monacal s’impose, on fait entrer le prisonnier. Les grandes portes de la salle s’ouvrent dans un fracas bourdonnant et aussitôt, la Garde Blanche tressaille, d’un seul homme les lances sont avancées, les mains sur le pommeau des épées. L’homme est enchainé, étreint fermement dans des fers solides, son pas est traînant et la lune passée dans les geôles du château semblent ne pas l’avoir affecté. Du moins en apparence. Le dénommé Lincoln laisse traîner son regard à droite, à gauche. Capte quelques visages bien qu’ils lui soient tous inconnus. Il sourit. Un rictus étrange, lèvre pincé et regard plein de malice jusqu’à ce qu’il soit amené au devant de la Reine. Alors, l’un de ses geôliers frappe dans le creux de son genou pour le faire plier mais il résiste et toise @Zelda Nohansen avec insolence. Ce n’est qu’au deuxième coup, plus fort, qu’il tombe à genoux. Sans se départir de son rictus.

Silencieux. Le regard passe de l’un de ses vis-à-vis, à l’autre. S’attardant sur @Jacerys Thorvald puis @Asumi Miz'Kyosia, moqueur. Puis vers son frère @Aerys Thorvald, aux côtés de la Reine en tant que conseiller. Son attention est plus intriguée par ce dernier. Puis Lincoln lâche un petit ricanement amusé en voyant @Naboris Dragmire. Feno L’Intrépide ne semble pas réellement intéresser le Yiga qui préfère en revenir à la reine. La défiance et le mépris clairement affiché puis il tourne la tête vers l’audience.

— Alors c’est ça, la justice d’Hyrule ? Un vrai spectacle. Quoiqu’un peu hypocrite et lâche. S’en prendre à un homme enchainé. Finalement, vous êtes des couards. TOUS ! 

Peut-être déclencherait t’il quelques réactions et y voir quelques failles même si sa position est plus que précaire.

BREATH OF HYRULE

Hyrule face au Yiga prisonnier

Zelda & autres

Le regard de la reine s'assombrit davantage lorsque le prisonnier entre dans la salle, elle reste silencieuse et sur la défensive. Oh, non, elle espère ne pas devoir ordonner l'exécution de cet homme qui doit sûrement avoir des informations précieuses pour Hyrule. Le tuer sur-le-champ n'est rien comparé à la souffrance que ses « amis » ont fait subir à Zelda, au peuple d'Hyrule, au royaume tout entier. Ce serait bien trop facile pour lui de mourir comme ça, sans avoir souffert, sans avoir été forcé à parler. Aujourd'hui, il devra répondre, il devra donner toutes les informations possibles et nécessaires pour préparer ensuite un plan d'attaque et coopérer. C'est mieux pour lui. Zelda ayant laissé la liberté aux personnes se trouvant près du convoqué de faire ce qu'il faut pour le faire parler, y compris le torturer.

Alors qu'un des geôliers frappe un premier coup, le Yiga ne faiblit pas et résiste. L'hylienne laisse apparaître sur son visage toute la haine et la colère qui l'anime alors que son prisonnier la regarde. Un échange de regards rapidement interrompu par un second coup bien plus fort, qui met à genoux le prisonnier enchaîné. Le silence dans la salle est palpable, Zelda reste silencieuse, cherchant les mots certainement. Quelques regards adressés à ses conseillers, avant qu'elle n'écoute ce que cette pourriture lâche comme insulte. Irritée par cette attitude, la reine du royaume se maîtrise et ne souhaite céder à aucune envie de s'emporter. Elle reste calme, apaisée bien que nerveuse. Un soupir, et là voilà qui se lève légèrement de son fauteuil en frappant du poing son accoudoir.

« Tu n'es certainement pas en mesure de négocier et n'essaies pas de t'en sortir avec des commentaires pareils ! »

La voix de Zelda résonne dans la salle, plus sérieuse, plus grave encore qu'à son habitude. Elle serre ses poings nerveusement alors qu'elle tente de rassembler sa plus grande sagesse et son calme digne d'une déesse. Inutile de lui donner ce qu'il recherche, elle ne cédera pas à l'impulsivité. Le but, aujourd'hui, est de tout faire pour obtenir le maximum d'informations sur l'ennemi, tout ce qu'il peut être utile. Tout un royaume compte sur elle, y compris ses habitants, son peuple, retenu prisonnier quelque part... Libérer les Landes Sauvages au même titre que les prisonniers retenus quelque part. Mais où et comment s'y prendre ? C'est une question qui demeure en suspend et Zelda espère pouvoir enfin répondre à tout ça. Enfin, Zelda se penche légèrement en se redressant totalement de son siège, s'adressant directement au prisonnier, sachant très bien qu'il ne va probablement pas coopérer tout de suite.

« Tu vas répondre à nos questions, ne crois pas que tu pourras résister longtemps... qu'on le fasse parler ! » commence-t-elle par dire, l'air un peu plus assuré en tenant fermement le manche de sa rapière. « Je veux savoir ce que toi et les tiens planifiez dans l'ombre ?! Pourquoi avez-pris tous ces hommes et femmes, enfants ce soir-là ! Je veux savoir où exactement ils se trouvent et comment y accéder ! » ordonne-t-elle, laissant ensuite la possibilité a d'autres voix de s'exprimer.

(c) DΛNDELION

Peu après son arrivée, la reine n'avait pas tardé non plus à faire son entrée. C'était le moment pour elle de montrer la force de sa mentalité. Une épreuve difficile allait s'ouvrir à elle car Zelda ne devait à aucun moment perdre son sang-froid. C'était bien pour cette raison que le conseiller n'était pas vraiment très partisan de ce genre de jugement en public car c'était dangereux pour la popularité de sa majesté mais aussi tout simplement pour lui. Bien que Aerys n'avait jamais vu ce yiga de sa vie, les murs parlaient alors peut-être que ce prisonnier avait entendu son nom quelque part. Malheureusement, il ne pouvait pas le faire taire avec tous ce monde autour. Au moins pouvait-il se rassurer en apercevant Meira parmi le peuple présent et juste un regard croisé pour lui faire savoir qu'il l'avait vu. Pas seulement son épouse, mais aussi Aelys. Cette dernière avait dû prendre sur elle pour venir jusqu'ici, voir ce yiga allait surement lui remémorer des mauvais souvenirs.
Comme d'habitude depuis leur dispute, Aerys ignorait son frère qui avait pris position non loin. Il ne voyait pas pourquoi il irait le voir, c'était lui qui l'avait insulté et non l'inverse. De toute façon, le conseiller n'était pas là pour penser à ses problèmes familiaux.

Le yiga venait enfin de faire son apparition après un lourd silence. Son sourire n'échappe pas à Aerys et ce début n'augurait rien de bon pour la suite. L'hylien n'était pas pour autant étonner, les yigas étaient entrainés pour ce genre de choses. La manière dont il avait de toiser la reine en était la preuve. Jamais cet individu ne plierait les genoux devant sa majesté et lorsque le prisonnier tourne son regard vers Aerys, ce dernier n'a que du dédain pour cet être qui n'avait même pas été capable de mettre fin à ses jours dans sa cellule. Puis le yiga s'était alors adressé au peuple pour le faire réagir en utilisant la position de faiblesse dans laquelle il était. Aerys s'était mordu légèrement la langue pour ne pas éclater de rire tellement c'était ridicule. Zelda était déterminé à trouver où était son cousin et ce que le peuple de l'Avatar du Néant mijotait. Même si elle ne le montrait pas, le conseiller pouvait sentir qu'elle était déjà agacée et que sa patience était limitée. Le conseiller avait rarement eu affaire à des prisonniers, mais celui-ci allait surement lui rire au nez ou chercher à l'énerver davantage. Aerys était le conseiller social de la reine, c'était lui qui était chargé de garder un lien avec les autres régions et aussi de gérer les crises du peuple de la citadelle. Il avait donc l'habitude d'entamer un dialogue avec les rebelles et de chercher une solution pour calmer les tensions. Certes parler avec un yiga était différant d'un paysan qui tapait des pieds car la pluie avait détruit son champ et réclamait des rubis en compensation.

- Votre majesté, si vous permettez, avant de passer aux questions. Ne faudrait-il pas rappeler à l'audience ce que cette personne - si on peut appeler ainsi ce meurtrier - a fait. Ce yiga ne se souvient peut-être plus lui aussi de la raison qui l'amène ici étant donné qu'il s'est plaint d'être enchaîné et nous a traités de couards alors que c'est lui qui a tué des innocents.

Aerys avait d'abord regardé la reine avant de toiser du regard le prisonnier à sa dernière phrase. Son regard bleuté ne battant pas d'un cil. On pouvait sentir tout le mépris que le conseiller avait pour lui, même si son ton était resté neutre.

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

Naboris serre doucement l’épaule de son amie avant de s’installer en silence. C’est alors que son regard se pose sur la piaf devenue blanche comme un linge … Revoir ce Yigas ne fait clairement pas de bien à Aelys et Naboris la comprend tellement … La colère monte rapidement en elle, se retenant avec le plus grand mal. Le ricanement du pauvre bougre n’était pas passer inaperçu pour Naboris. Elle s’imagine alors lui faire cracher le morceau avec de belles décharges. Se levant d'un coup, elle prendra la parole. « Ma reine … Ma chère amie. Votre question, je connais la réponse, malheureusement, ayant lu de nombreux livres sur l'Avatar dans les bibliothèques appartenant à ma grand mère. » Elle descendra peu à peu les marches pour se placer entre Zelda et le Yigas. « Ils deviendrons des sacrifices. N'est ce pas meurtrier ? Mais à cette question, il y a un pourquoi. Pourquoi choisir tel ou tel personne. Ici est présente une demoiselle, jeune Piaf, qui a échapper à ce destin en réussissant à fuir donc elle sait où ils sont. Zelda … Laisser moi le faire parler, je vous en prie. Pour votre père … Pour Akasha … Pour ma cité et mon peuple. Cet homme est conditionné pour ne pas parler, même sous la torture mais je connais un moyen … » Ses yeux se portent une nouvelle fois sur la Piaf qui semble au bord de l’évanouissement. « Tout ceci est l’œuvre de celui qui fut jadis mon père. Je sais que beaucoup d'entre vous ne me font pas confiance et je les comprend mais il a débuté une guerre, tuer et kidnapper des personnes innocentes … Et ça, je ne puis le permettre. Alors je vous le demande ma Reine. » Naboris, devant l'assemblée, se met à genoux devant Zelda. « Laisser moi le faire parler pour vous, en mémoire à ceux qui sont tombés, pour sauver ceux qui sont encore vivants … » Naboris est sûre de réussir à le faire parler, en hurlant certes, mais même bien entraîner, il ne pouvait pas tenir face aux pouvoirs de la Gerudo. La jeune Piaf se se lève, tremblante et elle se met alors à parler vers la reine. « Je sais où ils se trouvent majesté … » Ses yeux glissent sur Aerys un instant avant de regarder Naboris.

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

An 1000, Lune 2, Jour 7.
Le procès, si on peut l’appeler comme ça, débute sans perdre de temps. Le Yigas fait la forte tête, à quoi s’attendre de plus de la part de ces barbares ? Jacerys ne bouge pas de son emplacement et laisse le geôlier faire son oeuvre même si le pauvre bougre ne se laisse pas abattre si facilement, loin de là. L’Argenté se crispe un peu plus quand la Reine prend la parole et surtout se lève pour faire face au prisonnier. Autour d’eux règne un calme olympien, plutôt moribond et pesant. Aussitôt, la main du Chevalier d’Opale s’est portée sur le pommeau de son arme. Un seul geste de travers et l’homme sera fendu en deux sans état d’âme.

D’une regard oblique, il observait la souveraine. Jamais de sa mémoire, Jacerys n’avait vu Zelda dans un tel état de colère, de fureur même. Affichant une détermination sans faille pour retrouver les prisonniers d’Hyrule, porter un coup sévère à ces sauvages. L’Argenté prie Hylia de pouvoir venger leurs morts, et surtout retrouver Zachary aussi. Son frère d’arme qu’il espère encore en vie.
Quoiqu’il en soit, les bravades du Yiga le fait se raidir. Il reste en apparence, stoïque mais l’envie de lui coller un revers de gantelet d’acier dans le visage n’est pas ce qu’il lui manque.

De là où il se trouve avec toujours Lincoln dans sa ligne de mire, il ne voit pas son frère cadet s’approcher de la reine, ni même entendre ce qu’il peut lui glisser à l’oreille. Pendant ce temps, son regard divague sur l’assemblée. Il y apercevait le visage de l’épouse de son frère qu’il n’a aperçu que brièvement. Tous ces gens assistent à un bien étrange spectacle qui risque d’en dégouter plus d’un. C’est alors que Naboris sort de ses gonds et vient s’interposer entre la Reine et le Yigas. Passionnée et semble t’il marquée dans sa chair. Après tout, elle est la fille du tyran suprême.

La supplique de cette dernière fait tourner la tête de Jacerys vers la Reine. Pour lui, la justice doit être donné par la représentante d’Hylia en ce bas monde qui n’est autre que Zelda. Sinon quel message renverrait t’on aux yeux du peuple Hylien ? Seulement, le Garde Blanc est là pour…garder. Hélas. Ce qui surprend plutôt Jacerys c’est la voix fluette d’Aelys qui dit savoir où se trouve les prisonniers. Cette fois, il ne peut se terrer dans le silence, se tournant vers la donzelle.

— Et vous ne pouviez pas en faire part plus tôt ?

Son timbre de voix n’est qu’un chuchotement mais le ton est pincé, la mâchoire crispé.

- Quelle perte de temps !

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

La jeune femme prit place avec d'autres nobles qui étaient venus assister à l'interrogatoire. Certains étaient simplement curieux de voir comment la jeune Reine allait faire parler le Yiga mais d'autres voulaient des réponses. Ceux à qui ont avaient enlevé des proches. Des amis. Ou de la famille.

Meira tourna la tête pour voir l'arrivée du prisonnier. Ce yiga qui avait été prit et emmener comme cadeau par le peuple de Metzli. Son insolence et son regard mauvais allait promettre un véritable interrogatoire. Il ne suffirait par à Zelda d'utiliser ses mots pour convaincre cet homme de dévoiler des secrets de son peuple. De trahir un homme tel que Ganandorf. Elle n'avait jamais eu l'occasion de voir cet homme mais elle avait entendu beaucoup de chose à son sujet. Cela pouvait inspirer le respect mais aussi la crainte d'une tel puissance. L'avatar devait être ravi !

La reine posa ses questions dont les réponses étaient crucial pour son peuple. De quoi aurait-elle l'air si elle ne pouvait pas ramener les pauvres prisonniers du Millénaire ?
Avant que l'homme ne puisse répondre, l'hylienne entendit la voix de son époux qui utilisa ses mots pour conseiller la Reine. Qui rappella à tous la cruauté dont pouvait faire preuve les Yigas. Il était vrai que Aerys avait toujours un coté sombre qui l'avait fait basculé vers le Néant. Même quand il l'avait surprit avec un membre Yiga, il ne s'était jamais éloignée d'elle. Peut-être parce qu'il avait trop besoin d'elle ? Que même s'il avait encore un pas dans la lumière, une part de lui restait sombre et triste. Elle ne put s'empêcher de sourire face à ce que son mari avait dit devant la Cour. Elle était fière de pouvoir le voir montrer sa force et son courage.

Une autre voix se fit entendre, celle d'une proche de la Reine, qui n'était autre que de Naboris. La jeune femme n'avait jamais eu l'occasion de parler avec elle, c'était une femme qui avait fuit son père et qui voulait protéger son peuple. Elle parla des sacrifices, des histoires que Meira avait entendu quand elle n'était qu'une petite fille. Puis elle entendit parler de la Piaf qui s'était échapper et qui savait ou on pouvait trouver les prisonniers.
Elle se demandait si l'interrogatoire allait se finir par une séance de torture. Cela allait être inévitable ! Le prisonnier n'allait pas trahir les siens ! Du moins, pas de son plein gré !

Elle dut tendre l'oreille pour entendre la voix douce de la Piaf en question. Meira se demanda alors pourquoi elle ne parlait que ce jour-là. Il s'était sans doute passé un certain temps entre sa fuite et son arrivée à Hyrule. Pourquoi attendre si longtemps ? Elle partagea l’exaspération de son beau-frère Jacerys, même si elle ne le fit pas savoir à ceux qui l'entourait. Même si elle n'était pas toujours d'accord avec le garde, elle ne pouvait pas nier qu'il avait eu raison.

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RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

Asumi & other

An 1000, Lune 2, Jour 7.
Je suis entourée par tout le gratin d'Hyrule, les membres les plus nobles et les plus importants du royaume ou de ce qu'il en reste. Naboris, Zelda, Jacerys, Aerys, la garde blanche. Moi, la petite Sheikah, je me sens bien petite sur cette estrade. Mais je n'oublie pas mon serment. J'ai juré de protéger Zelda, mon échec durant les l'évènements de la fête du millénaire ne se reproduiront pas. Je dois le faire au nom du clan, au nom du royaume et surtout au nom de Pitch, personne ne fera de mal à lui et par extension à sa propriétaire.

Alors, voilà à quoi ressemble nos adversaires. Un homme puant l'arrogance, je me demande bien ce qu'il y a de glorieux de tuer des femmes et des enfants pour ensuite nous dire qu'ils sont les héros de l'histoire. Il peut me regarder du haut de son arrogance, ce n'est qu'un fanatique et un abrutit. En écoutant Aerys, je me rends bien compte que moi et le conseiller somme en effet d'accord sur ce point. Je me demande tout comme Zelda à quoi peu bien leur servir tant de personnes.... Par Hylia non, Naboris, les sacrifier. Votre père est un monstre. Je sais que vous vous ne l'êtes pas. Mais par les trois déesses, j'irais moi-même les sauver si sa majesté m'en donne la possibilité.

Cependant, quand je vois Naboris se mettre à genoux devant Zelda, tournant le dos au Yigas, une pensée en moi s'affole. Et si ce taré avait encore de la force et ce jetait sur elle. Cela ne se peut mais... Je sers mon bâton, me préparant à agir au moindre geste suspect. Je ne resterai pas sans bouger alors que le sang d'une amie de Zelda touche le sol.

Et Aelys qui nous sort comme ça qu'elle a des infos... Elle est consciente du nombre de vie qu'elle aurait put sauver au moins.... Asumi respire, calme toi. Elle a été faite prisonnière. Elle n'était pas en pleine possession de ses moyens... Heureusement, pour elle que j'ai promis à Zelda de prêter main forte à la garde blanche et que Jacerys a bien présenté ma pensée, sinon, je lui aurais fait bouffer mon bâton. Zelda la bien choisis, un bon garde du corps ce Jacerys. Mais je dois au moins prendre la défense de la pauvre demoiselle, c'est bien le travail d'un chevalier après tout. Et puis, si elle prend confiance en elle, sa mémoire se souviendra surement d'autre détail qui nous permettrait de sauver des vies. Et apporter les informations qui manquent à sa majesté est mon travail en tant que sa main dans l'ombre.

"- Ser Thorvald, avec tout le respect que je vous dois, j'ai bien peur que le passé ne soit plus modifiable. Et on a aujourd'hui des affaires plus importantes."

Je pose mon regard sur le Yigas. Un mot de Zelda et je lui présente son coeur sur un plateau. Je n'ai que rarement ressentit de la haine, mais fait souffrir ma Zeldouille et personne, même l'avatar, ne pourra te protéger de moi. Que les trois déesse m'en soit témoin.

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RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

An 1000, Lune 2, Jour 7

Oh il sent la colère qui bout dans les veines de la Reine Zelda, Lincoln sait reconnaitre ce sentiment qui s’empare de ceux qui ont souffert d’une manière ou d’une autre. La quête sourde et aveugle de vengeance pour les disparus et les sacrifiés. Sa vie entière de Yigas lui a permit d’être plus clairvoyant quant à ce que peut ressentir l’ennemi et justement, en profiter. Une faille que sont les émotions et c’est un déluge total à cet instant. Le prisonnier sourit en coin et ne baisse certainement pas les yeux face à la souveraine des lieux qui n’est pour lui, qu’une gamine perdue dans les méandres du pouvoir qui lui est tombé dessus sans crier gare. Aux paroles de la Reine, Lincoln hausse les épaules, faisant tressaillir les chaines qui lui meurtrissaient un peu les poignets.

— Qui parle de négocier ? Je ne compte pas négocier.

Il a un aplomb féroce, c’est indéniable. C’est un guerrier, fier. Avec ses convictions qu’il étale sans se soucier aucunement qu’elles soient comprises ou non. Il s’en fiche. Les Hyliens et leur code de l’honneur, leur noblesse inepte basée sur un titre ou un nom… Faiblesse rien de plus. Et ici présent, peu mérite leur place, encore moins celle qui lui fait face. Mais qu’importe, c’est une autre affaire. Zelda laisse sous-entendre la torture et le Yiga sourit jusqu’aux oreilles.

— Oh ! Voyez-vous ça ! Vous êtes certaines de votre choix et de ce que vous souhaitez montrer à la face du monde. Incarnation d’une déesse de lumière et de bonté. Laissez-moi rire.

Ses épaules se soulève d’une douce hilarité tandis que son regard obliquait vers le conseiller Aerys qui s’avancait.

— Innocents ET faibles ! Si ils sont morts, c’est uniquement pour cela. Parce qu’ils n’ont pas su sauver leur vie.

Dans son for intérieur, Lincoln espérait un jour faire ravaler l’arrogance de ce blondinet. Puis il tourne la tête vers l’assemblée. Observe la réaction de ses moindres bravades jusqu’à ce que son regard accroche un visage connu, là, tout proche. Lincoln reste silencieux mais l’on pouvait lire une certaine malice dans ses prunelles sombres. Cette femme, il l’a vu un jour, chez eux, chez les Yigas : Meira. Voilà un atout qu’il garde précieusement dans sa manche. C’est alors qu’un coup d’éclat tonne au centre de la salle, voilà la petite Naboris, traitresse à son rang qui se lance dans une diatribe ô combien émouvante. Lincoln la suivait dans ses moindres gestes, son attention allant de la Gerudo à la petite souris toute discrète qui peine à monter le timbre de sa voix. Il semblerait que celle qui a su se soustraire à son destin ait semé une sorte de trouble dans la petite assemblée qui lui fait face.

Les émotions… On y revenait ! Voilà la faille qu’il attendait !
Après tout qu’à t’il à perdre ? Mourir ? La belle affaire.
Lincoln pousse sur ses pieds de toutes les forces qui lui restait et profite que Naboris ait le dos tourné, en supplique devant sa reine pour passer la chaîne rouillée qui l’entravait autour de sa gorge et la serrer tout contre lui. La jeune femme peut sentir le fer lui brûler la peau, le larynx martyrisé qui lui coupe le souffle. D’ordinaire, le Yigas lui aurait déjà briser les vertèbres mais un mois de geôle ont altéré ses capacités mais pas sa combativité. Au contraire !

L’homme s’est redressé sur ses pieds, son regard décourage les gardes pris au dépourvu. Son attention se tourne vers Asumi et Jacerys. Cependant ses mots s'adressent aussi à son otage, Naboris.

— Je vous conseille de réfléchir très sagement à vos actions désormais. Sa vie est entre mes mains et je ne crains rien.

Dans l’assemblée, c’est la stupéfaction. On chahute, on murmure, on invective aussi. En somme, le calme s’effondrait au profit du chaos paniqué.

BREATH OF HYRULE

Invité Invité

Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

Naboris regarde autour d’elle pour planter son regard sombre vers la jeune femme puis elle glisse vers Jacerys. « Jacerys, auriez vous cru une pauvre Piaf, emprise d'une fièvre monstre et d'une aile cassée, qui deblatte qu'elle sait où ils sont ? Non, vous l’auriez vu comme folle, mettant ça sur le compte de la fièvre. Cette femme à vu plus de choses que nous tous. Mon père est puissant, certes, mais son armée il est encore plus. Ils sont conditionnés à ne rien ressentir … » elle se tourne enfin vers le Yigas, cette petite femme ne tremble pas, surplombant l’homme sans s'approcher. « Pas d’amour, pas de honte, aucun amour propre … Seule la force les attirent. Ceux qui ne sont pas assez fort, alors qu’ils sont encore jeune enfant, sont sacrifiés par la chaman. La folle furieuse qui a fait le discours sûrement. Demandez donc au conseil Sheikah, ils en savent beaucoup sur cette renegade. J'ai perdue une amie proche, ma gardienne. Mais j’ai aussi laissé tomber mon peuple. L’homme qui s’est dressé en face de nous tous n'est pas celui qui fut mon père, ce n'est qu'un mort ambulant … Et si je pouvais lui arracher la vie moi-même je le ferais … Mais je ne peut pas. J’ai mis tant d'années à réparer les erreurs de mon père. J’ai mis tant d’années à ce que mon peuple ne soit plus vu en traître … J'ai été vu comme une paria par beaucoup … Mais feu le Roi ma donner la chance de redorer, non pas mon nom, mais celui de mon peuple. Et par Hylia je ne laisserais plus ce monstre et ses chiens faire du mal au gens. » La petite Piaf est soufflée par la force de la Gerudo, cela lui donne du courage pour s’avancer avec douceur et grâce vers sa nouvelle amie. Après une révérence, elle regarde la belle blonde qu'est la Reine. « Majesté. Veuillez me pardonner … Pour le temps … que vous avez perdue par ma faute. Lady Naboris m'a énormément aider … J’avais peur … Nous étions dans le désert Gerudo quand j'ai réussi a m'échapper. Ce que dit Naboris sur eux … Les Yigas, est vrai. Aussi longtemps que je vivrais … j'entendrais toujours les cris, les pleurs, les supplices que ses pauvres âmes on subi. D’après ce que j’ai entendu, ils sont à la cité Gerudo … Ils s'y sont installés … » La voix de la Piaf tremble énormément, un contraste énorme entre la furie brune et la douceur blonde. Mais tout comme la Gerudo, la Piaf avait perdu son protecteur cette nuit là. Naboris, le dos tourné au Yigas verra le visage terrifié de la piaf qui recule jusqu'à tomber au sol. Ce n'est que quand elle sent le fer contre sa gorge qu'elle comprend. Elle comprend à quel point cet homme est un idiot sans cervelle. « Allons … ton maître … ne ta pas dit … qui je suis … petit chien ? » demande la fougueuse Naboris, la voix calme mais pourtant étranglé. « Je suis … Naboris … Dragmire … et … je n’ai pas peur … de toi … » posant sa main sur le bras de Yigas, elle concentre assez d’énergie pour lui asséné une décharge, ayant dans l’idée que ce soit assez pour déstabiliser cet espèce de malade mental et pas assez pour le tuer.

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Hyrule face au Yiga prisonnier

Zelda & autres

Aussi déterminée soit-elle, l'hylienne en oublie de présenter l'ennemi commun de tous ceux présents dans cette salle. Ce yiga, ce meurtrier, ce fanatique... le mépris de la reine vis-à-vis de lui est évidemment compréhensible et aisément visible sur son visage. Néanmoins, Zelda laisse son conseiller, Aerys, parler et présenter à l'assemblée le prisonnier qui se trouve face à eux. Ignorant tout simplement les mots venant de la bouche corrompue du Yiga enchaîné, Zelda aimerait justement aimer lui annoncer que oui, elle est prête à tout pour le faire parler. Qu'Hylia la pardonne pour ses potentielles décisions difficiles à prendre... Mais tout ceci ne sera fait que dans l'unique but de délivrer son peuple des griffes de l'ennemi, cet ennemi sanguinaire adorant des pratiques barbares et loin d'être acceptées en Hyrule. Quitte a se tâcher les mains.
Mais c'est ensuite l'attitude de son amie de cœur, Naboris, qui trouble la quiétude que la reine tente de garder en elle. Ah... Reconnaissant évidemment la bonne volonté et ce caractère, Zelda ne peut que comprendre le souhait de son amie de vouloir rendre justice à ceux dont l'âme ayant rejoint la Déesse ce soir-là. Zelda ne peut que la comprendre, mais est-ce raisonnable ? Sûrement pas. Pourtant, l'hylienne observe son amie se mettre à genoux devant elle, lui transmettant beaucoup de sentiments à cette occasion.

« Je suis consciente de toute votre volonté, de votre envie de venger nos peuples mais je ne peux accepter qu'une amie chère se dévoue à une telle tâche ! Par Hylia, relevez-vous, mon amie, Lady Naboris Dragmire. »

Cependant, une petite voix se fait entendre dans la salle alors qu'une jeune femme blonde se présente, confirmant qu'elle possède des informations capitales comme annoncé par Naboris plus tôt. Par Hylia ! Pourquoi son amie lui a tant caché d'informations ? Si essentielles ? Y-a-t-il d'autres informations que Naboris ou que cette jeune piaf connaissent et dont elles gardent le secret ?! Comme si ce n'était pas déjà assez facile ! Il fallait que ses propres alliés lui cachent certaines vérités ? Bon sang ! Comme si elle aurait refusé d'accueillir un témoignage qui aurait pu être capital ! Bien au contraire, une jeune piaf blessée revenant du désert, comment la reine aurait-elle pu être aveugle et sourde ? Zelda se retient d'être moins agréable face à son amie, d'ailleurs, mais elle se retient, elle ne doit pas céder à la colère. La reine n'a pas de temps à perdre par de longs discours qui ne feront pas revenir ni les morts ni les informations capitales à la suite... « Par Hylia ! » souffle l'hylienne avant de reprendre son souffle, essayant du mieux qu'elle peut de garder son calme qui reste tout de même instable.

Toutefois, Zelda se montre attentive aux paroles de la jeune blonde qui dévoile l'information concernant l'installation de l'armée ennemie au sein même de la Cité Gerudo. Hmm. Il n'y a rien d'étonnant, les forces alliées et envoyées par le père de Zelda ayant toutes été décimées... rien d'extraordinaire à priori. Bien que cela confirme cette théorie devenue vraie. La Cité Gerudo est connue d'Hyrule mais qu'ont-ils fait comme transformations ? Ont-ils fortifié la ville ? De quelle manière ? Mais des sacrifices... dans quel but ? Nourrir une quelconque cause par le sang ? Le dégoût et l'horreur traversant le dos de la reine en cet instant.

« Et est-ce qu'il y a d'autres informations importantes que l'on m'a caché durant DEUX lunes entières ? »

Mais la scène se passant si vite, Zelda eut un léger recul lorsque le prisonnier se saisit avec violence de Naboris, la gardant contre lui et menaçant directement sa vie. Le regard de l'hylienne croise celui du Yiga, elle ne bouge pas tout d'abord et son regard se tourne vers les gardes présents à plusieurs endroits de la salle. La voix autoritaire de la reine s'élève enfin alors qu'elle quitte sa place et descend pour arriver à la place de là où se trouvent - ou trouvaient - ses gardes protecteurs, dont Jacerys et Asumi, sans pour autant s'approcher de l'ennemi dans un premier temps.

« Qu'attendez-vous ?! Par Hylia ! Ecartez notre jeune demoiselle piaf dont nous écouterons les paroles après et occupez-vous de ce criminel qui se trompe ! »

Bon sang, comme si Hyrule n'avait pas été assez mise à mal, il fallait que les gardes chargés de veiller sur le prisonnier soit de bons à rien ! Mais va-t-elle réellement s'engager dans une folie, mettant également à mal sa réputation ? Naboris, tentant de se défaire, use de sa magie électrique alors que les fers peuvent être littéralement dangereux ? D'une seconde à l'autre, de sa main libre, Zelda tend sa main vers Naboris pour l'envelopper de son bouclier lumineux, faisant alors appel à sa magie, ne sachant malheureusement pas si cela sera suffisant pour la protéger.

« Et prendre des risques inconsidérés... » murmure-t-elle en visant directement son amie, qui certes, voulait bien faire mais qui peut mettre à mal le procès qui doit se dérouler. « Je vous ordonne d'immobiliser ce Yiga au sol et veillez bien à ce qu'il ne puisse plus bouger ! » dit-elle en visant de son regard, pourtant clair mais émanant tant d'obscurité, directement les gardes armés de leurs épées. Si aucun ne se bouge, Zelda s'en chargera elle-même, sa rapière étant toujours dans sa main.

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RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

Asumi & other

An 1000, Lune 2, Jour 7.
Je ne vais pas mentir, le Yigas m'exaspère et m'énerve. Pas que je ne trouve pas de sens dans ses paroles et la pensée Yigas. Je suis une des rares femmes chevalier, nombre d'homme autour de Zelda actuellement n'ont cesse de me rappeler que ma place parmi les pantalons les gênent et qu'il préférait me voir en jupon. Hyrule est ainsi fait que les hommes auront le dessus, que certain naisse noble, d'autre naisse pauvre. Mais ce n'est pas une raison pour massacrer des innocents.
Les Yigas ne sont que le résultat d'une mauvaise gestion que Zelda saura régler. Je crois et j'ai confiance en elle. Je n'irais pas appeler un dieu destructeur pour régler un problème, je préfère une reine de chair et de sang pour faire changer les choses. Toutes les horreurs d'ont nous fait part Naboris ne sont que le résultat de l'esprit malade de son père. J'ai beaucoup de pitié pour cette femme et de haine pour son paternel. Mais malgré toute la peine que j'ai pour la reine du désert, nous cacher de telles informations pendant deux lunes, n'étaient pas une bonne idée. Nous sommes dans une crise qui ne connait aucun précédent depuis plusieurs siècles, tout de même. Je laisse cependant Zelda parlait. La politique est son domaine, pas le mien.

Cependant, comme je le craignais, le Yigas prend Naboris dans ses bras. Mais quel idiot. Naboris est une électromancienne et il doit le savoir. Autant prendre de la foudre au creux de sa main. Il peut nous menacer autant qu'il veut, je n'aurais jamais fait cela à sa place. Je me cache dans les ombres disparaissant en un instant, glissant en elle pour me déplacer en silence et quitter l'estrade pour me mettre dans le dos de l'homme. Et comme prévu Naboris envoie une décharge après avoir rappelé au Yigas qui elle est et Zelda élance son bouclier sur la suzeraine légitime des landes sauvages. Le bouclier de lumière annule mes pouvoirs, je réapparais au côté du Yigas, mais je dois saisir ma chance. Je profite de la décharge et du moment de surprise qui suis pour le mettre dans le dos du Yigas et j'enserre sa gorge de mon bâton, le bloquant entre mes bras pour l'empêcher de respirer. Je pense aussi à placer ma tête pour qu'il ne puisse pas se libérer en me donnant un simple coup de tête en arrière. J'élèves ensuite ma voix pour que tous puissent m'entendre, en le copiant et en me moquant ouvertement de lui :

"- Je vous conseille de réfléchir très sagement à vos actions désormais. Votre vie est entre mes mains et je ne crains rien."

L'ironie, l'univers est ainsi fait que quand on ne réfléchit pas, il nous tombe au creux des mains. Avec la gorge serrer, il doit suffoquer. Et par un coup trop sec sur la gauche ou la droite, je pourrais lui briser la nuque. Lui qui se croyait fort.
Mais cette phrase n'était pas pour lui, c'était en réalité un message pour la cour. Hyrule est encore forte, les Yigas n'ont gagné que parce qu'ils nous ont attaqué par surprise et n'ont fait que tuer des innocents. Il leur a fallut leur chamane, la main de leur chef et cinq soldats pour faire tomber Zachary.
Les gardes décident enfin à se bouger et a attraper les bras du Yigas pour le maitriser et tenter de libérer Naboris. Mais j'ai une autre solution pour l'obliger à la lâcher. Le frapper dans son égo. S'il veut le frapper, il ne peut que donner un coup de coude dans mes côtes et donc lâchait Naboris. Je continue donc sur ma lancé.

"- Mais c'est drôle que vous parliez de faiblesse. Il a suffi d'une magicienne sans compétence offensive et trois paysans dont une femme enceinte pour vous vaincre. Votre dieu doit être si déçu."

Ma voix transpire une certaine moquerie et condescendance complètement voulu. Lui qui parle avec tant d'orgueil, il ne va pas pouvoir laisser ma phrase passée sans être vue comme un pleutre. Car non, il a des choses qu'il craint encore, perdre son honneur et son orgueil, honneur et orgueil que je piétine sans aucun remord.
La vie de Naboris a plus de valeur à mes yeux qu'une côte cassée ou l'honneur bafoué de cet imbécile.

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

An 1000, Lune 2, Jour 7.
D’abord c’est la stupeur qui frappe le Garde Blanc quand il apprend que de précieuses infos sont à leurs portées depuis deux lunes. Pendant tout ce temps, des Hyliens étaient battus, humiliés, réduits en esclavage voir même sacrifiés si l’on peut croire alors ce que Jacerys venait d’entendre. DEUX LUNES où l’on aurait pu agir. Si l’Argenté n’était pas en mission commandé où sa place est de préserver la Reine, il perdrait son calme autant que les bras lui en tombent. A travers la visière de son casque il est impossible de voir le regard à la fois empli de colère et d’incompréhension du Garde Blanc. Pourtant, il est bien présent. Ce n’est pas la répartie de la princesse Naboris qui pourra convaincre Jacerys qui portait déjà son attention sur la Piaf fluette qui prend la parole. La main de l’Argenté se serre sur la poignée de son arme.

— Ne l’aurais-je pas crû car ce n’était pas à moi qu’il aurait fallut le dire mais à la Reine, Lady Dragmire. D’autant que cette demoiselle semble avoir votre confiance tout comme sa Majesté a confiance en vous.

On peut sentir toute la frustration et la retenue que peut faire preuve Thorvald qui d’ordinaire sait resté d’un calme olympien. Mais là… Cependant, il se tait, et ne dit plus rien car au final ce n’est ni le procès de Naboris ou de la jeune Piaf qui se déroulait là mais celui du Yiga qui tenait une grande responsabilité, avec les siens, dans le malheur d’Hyrule. Le Garde Blanc préfère laisser tout cela de côté et laisser qui de droit juger de cela le moment opportun.

Ce petit moment de chaos, de discorde entre les différents accusateurs profite au prisonnier qui dans un élan de stupidité ou alors de courage, s’empare d’un Princesse des Landes Sauvages de dos. Ce n’est pas dans les prérogatives de Jacerys que de défendre Naboris qui d’ailleurs le fait parfaitement bien seule, sans compter sur l’implication de Zelda elle-même, puis de Asumi quelques secondes plus tard. Lui n’aura pas bougé d’un iota en s’interposant même entre le prisonnier, l’otage et sa Reine.

Un bref moment de désordre qui fait s’emballer la foule. Monter à la fois l’incompréhension que la colère parmi les gens présents. L’Argenté n’aime braiment pas cette tension qui s’installe entre les murs de la Citadelle. Tout comme il n’aime pas le brusque élan de « courage » de l’homme qui ne tarde pas à payer le prix de son audace. Il se crispe.

— Nous devrions faire ce procès à huis-clos, Majesté. Les esprits s’échauffent dans les travées. Cela ne me dit rien qui vaille.

Méfiant, il l’est toujours. C’est son rôle que d’anticiper les mouvements adverses même quand ils semblent maintenant entravés. Et si le Yiga avait simplement provoqué une diversion ? Allez savoir.

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

L'interrogatoire avait à peine commencé et les esprits commençaient déjà à s'échauffer. Pour le prisonnier, cela devait être une aubaine, une opportunité inespérée de retourner les Hyliens les uns contre les autres. Est-ce que cela aurait pu être sa mission dès le début ? Se faire capturer pour pouvoir mettre le bazar dans la palais pour pouvoir divulguer à son maitres, tous les points faibles et les vilains petits secrets ?

Après la remarque de son beau-frère, Meira écouta avec attention le long monologue de la princesse des Landes Sauvages. Elle parla de son amie, la jeune Piaf qui s'était libérée de ses fers avant d'arriver à Hyrule. Elle l'a soutenait alors que la plupart des nobles devaient sans doute se demander pourquoi elle s'était tue pendant presque deux lunes. Pourquoi n'avait rien dit à quelqu'un ? Ou même à sa Reine ? Celle-ci devait sans doute se sentir à l'écart, n'ayant pas eu la chance d'avoir pu avoir quelques réponses pour réfléchir à un moyen concret de libérer ses sujets prisonniers.

Le Garde blanc était toujours présent pour la Reine, il l'a soutenait toujours. Contre n'importe qui et n'importe quoi. Il était loyale envers sa Reine. Si seulement il pouvait l'être un peu plus pour sa famille. Pour son frère qu'il était en train de mettre derrière lui. Cela permettait à la jeune femme de garder son époux auprès d'elle. Toujours auprès d'elle.

Puis les choses se mirent à s'accélérer quand le Yiga décida de frapper le premier. Il avait eu l'effet de surprise, aucun des gardes qui l'entouraient n'auraient pu penser qu'il allait faire quelque chose. Pourtant, il l'avait fait en prenant Naboris comme otage. Il menaçait sa vie parce qu'il n'avait plus rien à perdre. Malgré les fers qui l'entravaient, la princesse usa de sa magie pour faire du mal à son bourreau mais était-ce une bonne idée ? Ne souffrirait t-elle pas de ce geste pris sur un simple coup de tête ?
Même la Reine s'était approchée de la victime en essayant de la protéger. Ce serait-ce pas trop risquée de la souveraine ?

La noble avait entendu la remarque et le conseil du Garde Blanc. Faire un interrogatoire avec peu de gens éviterait au prisonnier Yiga de se montrer en spectacle. Que pourrait t-il tenter de plus ? Comment pourrait-il se sortir d'une situation pareil ?
De l'autre, le peuple voudrait sans doute avoir des réponses. Car beaucoup voulaient retrouvaient leurs proches disparu avant qu'ils ne soient tous tués. La Reine avait un choix à faire. Pour son peuple, elle devait prendre une décision.

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