Encapuchonnée et portant une tunique couleur sable sans signe distinctif, la jeune Naboris marche d’un pas décidé dans la rue principale en direction du lieu visé. Depuis quelques semaines déjà elle attend ce moment et il est hors de question qu’elle loupe un telle occasion. Un bref sourire aux lèvres, elle pense un instant aux futures remontrances qu’elle recevra probablement de sa mentor Albafina Nabooru. Combien de fois ne lui a-t-elle pas conseillé de ne jamais sortir sans escorte ? Ses ennemis sont si nombreux qu’il n’est pas impossible d’envisager de nombreux infiltrés dans tout le Royaume D’Hyrule. Celesbourg a été jusqu’à maintenant plus ou moins épargné mais prévenance est mère de sûreté. Bien qu’imprudente par le simple fait de sortir au grand jour seule, Naboris n’est pas pour autant désarmée grâce à son cimeterre qui est toujours fermement attaché à sa hanche : gage qu’elle saura se défendre si le besoin s’en fait sentir. De toute façon il est trop tard pour rebrousser chemin : sa destination est déjà en vue. Arrivée en face de la taverne elle jette plusieurs coup d’œil aux alentours avant de se décider à pousser ses portes.

En ce milieu d’après-midi la salle est très bruyante et presque pleine. Certaines conversation houleuses se font entendre ici et là pendant que la serveuse passe de tables en tables pour remplir les chopines vides des valeureux assoiffés présents. L’ambiance parfaite pour passer inaperçue. Malgré cela la Gerudo ne peut s’empêcher de jouer machinalement sur le manche de son sabre, toujours sur ses gardes. Comme prévu, elle se dirige vers le bar et se fait une place entre deux commerçants qui ne lui jettent même pas un regard. Naboris fait un geste au tenancier. Celui-ci s’approche en la dévisageant. « Qu’est-ce que ça sera ? ». La jeune femme commande une bière épicée avant de patienter : une des boissons typiques des Landes. Sitôt sa chope devant elle, une femme au visage voilé s’accoude à ses côtés, bousculant l’un des hommes proche pour prendre place. Nul besoin de s’inquiéter car il s’agit de l’une de ses espionnes également d’origine Gerudo. « Sav'saaba », salua-t-elle dans sa langue natale. Cette dernière lui retourne son bonjour avant de poser la question qui la taraude : « Est-elle là ? ». L’informatrice s’approche un peu plus de sa suzeraine pour désigner un coin de la pièce. « Près de la fenêtre. Vous ne pouvez pas la manquer c’est la seule à sa table ». Naboris hoche la tête avant de la remercier « Sarqso ». Sa sœur guerrière incline légèrement la tête en lui glissant : « vous deviez faire vite. Elle ne reste jamais au même endroit très longtemps… Je ne serai pas loin en cas de problèmes ». Sa mission accomplie l’ombre Gerudo s’éclipse, laissant l’Héritière seule. Il est temps.

Elle avale une goulée de son breuvage avant de se lancer. Toujours le visage dissimulé elle esquive les clients et éclats d’alcools, cherchant du regard sa proie. Elle finit par la trouver : seule à sa table comme son informatrice l’en a informé. Hésitante d’abord, la jeune Gerudo s’approche de la guerrière qui semble perdue dans ses pensées. Comme pour lui montrer qu’elle n’a aucune intention belliqueuse à son encontre, d’autant si on se fiait aux rumeurs la concernant, Naboris fait tomber sa capuche et  tend sa main libre vers la chaise en face d’elle : « Bonjour, puis-je me joindre à vous ? C’est peut-être un peu cavalière de ma part mais je suis en recherche de compagnie. D’après ce qu’on dit vous pourriez être la personne idéale pour ça ».

Si autrefois la Dragmire pouvait se permettre de déambuler dans une taverne sans risquer de se faire agresser, il en était désormais tout autre. L’époque heureuse de cette liberté dont elle avait bénéficié lors de son adolescence était définitivement révolue depuis la prise de pouvoir de ces diables de Yigas. Désormais contrainte de se déplacer sous escorte elle regrettait ces temps heureux de sa jeunesse où elle pouvait se déplacer librement à travers les Landes et aller à la rencontre de son peuple et des visiteurs sans craindre pour sa vie. Son père avait tout gâché et cette simple idée lui donnait envie d’enfourcher son destrier et réclamer le prix du sang. Encore ici bien que sans gardes visibles, son espionne Gerudo, qu’elle appelait ses « ombres », restait à proximité et prête à intervenir sur le besoin s’en faisait sentir. Ces temps troublés devaient cesser et la paix revenir, c’est pourquoi la jeune femme ne cessait d’œuvrer en ce sens. Le jeune Front de Libération qu’elle avait crée avec sa fidèle Albafina s’étoffait de plus en plus. Financé par la reine Zelda il ne lui manquait plus que de fidèles soldats prêts à affronter le mal et ce quel qu’en soit le prix. C’est pourquoi Naboris fondait de grands espoirs avec cette rencontre. Elle se dirigea donc vers sa cible, tentant de cacher sa nervosité. Il était toujours délicat de se dévoiler à des inconnus surtout en ce moment. Après tout, le montant de la prime qu’il y avait sur sa tête pouvait tenter le plus incorruptible des hommes… Désireuse de ne pas lui donner motif à se méfier, elle abaissa sa capuche avant de lui proposer de se joindre à elle. Serait-elle reconnue ? Elle en doutait. Après tout rare était ceux de ce royaume à pouvoir prétendre à l’identifier aussi aisément, surtout dans ce genre d’établissement où sa présence n’était pas forcément attendue.
« Installez-vous. C'est avec plaisir que je vous accueille à ma table, gente Dame! ». Heureuse de ne pas se faire envoyer promener, et un peu amusée de cette marque de respect, elle la remercia tout en prenant place. « Je ne sais pas si je suis la meilleure des compagnies, ni même ce que les gens peuvent dire de moi mais je ferai de mon mieux en tout cas. Un morceau de pomme ? ». D’instinct, et même si cette femme se montrait des plus avenante, Naboris percevait la dangerosité d’une telle personne. Sa posture, son calme, sa voix assurée son physique magnifié par cette armure… Il émanait d’elle une étrange attractivité qui plaisait à la Gerudo. L’Héritière des Landes ne doutait pas qu’en d’autres circonstances elle n’aurait pas dit non à l’avoir dans son lit. Un jour peut-être. Cependant elle n’était pas là pour ça. Après avoir prit le couteau des mains de la guerrière, frôlant sa main de la sienne par la même occasion, elle détailla le morceau de pomme en lui glissant : « On raconte nombre de choses sur la Pénitente ». Elle mangea le fruit avant de lui rendre son couteau en plongeant son regard dans le sien. « Démêler le vrai du faux est toujours délicat… Et dangereux ». Sitôt Kassandra s’être présentée, Naboris resta un instant sans répondre, pesant le pour et le contre sur ce qu’elle pouvait dévoiler et rester cacher. Finalement elle préféra jouer la carte de la sécurité « Enchantée. Comme vous l’avez sans doute deviné je suis Gerudo. Je fais partie des forces loyalistes à la véritable Héritières des Landes Sauvages. Peut-être en avez-vous entendu parlé ? ». Ce qui n'était pas un mensonge au fond et sonder ce que cette guerrière savait du conflit actuel serait intéressant. « Je suis Guerrière comme vous et mon but est de lutter contre l’influence du mal. D’après ce qu’on dit nos buts pourraient s’accorder ? ». Naboris désigna le livre de prière de la tête. « Il est rare de rencontrer une dévote en arme. Pardonnez ma curiosité mais comment une femme telle que vous se retrouve ici ? ».

« J'espère être un minimum mis sous mon meilleur jour, j'essaye de tout mon coeur de suivre les enseignements de la Déesse après tout! » Naboris se permit un léger sourire à ces paroles. « Je vous rassures sur ce point ». Ceci étant dit, la Gerudo espérait ne pas avoir à faire à une fanatique pour autant. La dévotion restait louable à ses yeux mais pousser à l’extrême celle-ci pouvait être dangereuse. La jeune femme doutait que ça soit le cas pour son interlocutrice ici présente. Amenant le sujet qui la motivait, la fille des sables se présenta comme une simple partisante du mouvement crée avec sa mentor Albafina. Sa réponse fût un signe encourageant cependant avoir un ennemi commun était une chose. Devenir alliée et amie en était une autre. Essayant de paraitre le plus agréable possible elle lui expliqua : « Ainsi laissez-moi vous le présenter. Nous œuvrons à libérer les Landes Sauvages des griffes de ces montres de Yigas et remettre sur le trône la véritable Héritière de ces terres ». Elle but une gorgée du breuvage qu’elle avait commandé avec une grimace avant de poursuivre : « C’est une quête honorable pour une personne telle que vous. Ces chiens adorateurs du néant agissent comme des tyrans là-bas comme partout. Ils asservissent le peuple et n’ont aucune considération pour la vie humaine. J’ose espérer que vous y réfléchissiez. Vos actions sont dignes de louanges mais ce que je vous proposes permettra de sauver des vies sur une toute autre échelle ». Désireuse d’en apprendre un peu plus sur cette sombre guerrière, Naboris la questionna sur la raison de sa situation actuelle. Ce qu’elle apprit la conforta sur l’honorabilité de son interlocutrice. « Voilà une réponse honnête et sans détours. C’est tout à votre honneur. Je suis désolée pour votre femme. La trahison familiale est la pire à endurée et je parle d’expérience ». Malgré ces sombres paroles la jeune Gerudo, joueuse malgré elle, gloussa un instant avant de répondre : « Effectivement votre attirance est tout sauf religieuse… ». Sourire charmeur aux lèvres, lui portant en même temps un toast de sa chopine, elle argua ensuite : « C’est une existence louable. Cependant qu’en sera-t-il dans quelques années ? ». Naboris termina sa bière avant de préciser sa pensée : « Le Front n’a pas énormément d’ors à vous proposer en échange de vos service. De toute manière user de simples mercenaires avides de richesse à ses limites… Ceci dit, au terme des batailles et une fois les Landes libérées je peux vous promettre un foyer si vous le désirer. La Cité Gerudo était réservée aux femmes avant sa chute et j’espère bien rétablir les anciennes loi ». Elle ne prit pas garde sa gaffe sur le fait qu’elle avait un tel pouvoir décisionnel pour ajouter : « Elle n’en sera qu’embellie d’avoir une habitante telle que vous ». Elle joua un instant avec l’anse de sa chope, son esprit dérivant vers de lointains souvenirs. « Avoir un chez-soi est quelque chose d’important. N’êtes-vous pas d’accord ? »

Naboris appréciait de plus en plus cette guerrière qui l’intriguait. Elle ne correspondait pas du tout à l’image que la jeune femme s’en était faite. Là où ses informateurs y décrivaient une combattante implacable et austère, la Gerudo y discernait une toute autre facette. Blessée par la vie, Naboris ressentait un étrange écho à sa propre existence. Les compliments dont elle la gratifiait semblaient également faire son petit effet sur la Pénitente qui ne pût s’empêcher de rougir et jouer nerveusement avec des mèches de cheveux. La jeune Héritière aimait ça et elle ne pouvait se le cacher. Elle avait toujours fonctionné ainsi en n’hésitant pas à user de sa personne pour charmer ses interlocuteurs. Un instant elle se demanda ce à quoi cette guerrière pouvait ressembler une fois son armure retirée… Elle chassa ces pensées, ce n’était ni le lieu ni le moment pour ça. La luxure attendra. « Vous ne devriez pas vous dévaloriser… Kass » se permit-elle de l’appeler par son diminutif.
Naturellement, la Gerudo parla à son interlocutrice de ce que rejoindre sa cause pouvait lui offrir. Peu d’or certes, mais l’assurance d’avoir une place dans la nouvelle société que l’Héritière bâtirait. Après tout lorsque la guerre se terminerait il y aurait fort à faire et avoir une femme telle que celle qui se trouvait en face de Naboris serait un atout. Devant ses craintes, la jeune femme se permit de la rassurer : « La Cité Gerudo n’est pas aussi chaude qu’on pourrait le croire. Il existe de nombreux arbres pour atténuer les effets du soleil pour procurer de l’ombre. Les maisons sont faites de manière à garder l’humidité et nous ne manquons pas d’eau avec les nombreuses sources souterraines qui traversent le territoire ». De toute évidence la proposition l’intéressait mais pas assez pour avoir une réponse catégorique de sa part. C’était tout à fait normal, de toute manière Naboris escomptait bien lui laisser un temps de réflexion car cet engament n’était pas à prendre à la légère. Lorsque Kassandra évoqua son ancienne ferme et sur les fantômes qui risquaient de la hanter, la Gerudo hocha la tête, compréhensive. « Je comprends ce que vous dites... Moi-même je ne sais pas ce qui peut m’attendre là-bas… Mais j’espère bien le découvrir et rebâtir ce qui a été détruit sur des bases saines. N’y a-t-il pas meilleur projet dans une vie ? ».  Pesant le pour et le contre sur ce qu’elle pouvait dévoilé elle ajouta : « En tout cas, j’espère que mes paroles ont touché assez votre cœur pour que vous envisagiez de nous rejoindre. Peu importe ce que vous envisagiez de faire après, sachez que je vous donne ma parole que vous serez toujours la bienvenue au sein de notre peuple si vous vous rangez de notre côté… La parole de Naboris Dragmire, Héritière des Landes Sauvages », dévoila-t-elle désormais certaine de ne pas craindre un quelconque esprit malveillant caché dans cette sombre guerrière. Coupant court à toute forme de protestation ou de surprise, elle lui prit l’avant-bras. « Nous sommes aujourd’hui entre guerrières. Nul besoin de convenance en cet instant ». Elle engloba la sale d’un coup d’œil. « Je vous fais assez confiance pour vous donner mon nom. Mais cette époque est dangereuse pour moi et nul besoin d’attirer l’attention ». Naboris la relâcha alors, la gratifiant d’un nouveau sourire. « Réfléchissez à ce que je peux vous offrir. La tâche est difficile mais indispensable si nous voulons restaurez la paix ». Elle termina sa bière, en recommanda deux qu’on vint leur servir immédiatement, avant de lui demander : « Je vous ai exposé mon souhait. Il serait juste de vous laisser la parole avant de partir maintenant que vous savez qui je suis ». Lui proposa-t-elle. Effectivement tout ce qu’elle pouvait faire désormais était de répondre à ses questions et ses doutes, si elle en avait, avant de trinquer et quitter cette auberge.

Si la Gerudo était venue avant tout pour recruter cette belle guerrière qui se trouvait en face d’elle ; La Dragmire prit plaisir à converser avec cette dernière, allant même jusqu’à évoquer la possibilité de l’intégrer dans le futur à son peuple ou à tout du moins à avoir un foyer dans les Landes. Naboris arrivait à peine à percevoir le mystère qu’était cette Pénitente. Lorsque la dévote évoqua ses besoins en ‘barbotage’, l’Héritière ne pût s’empêcher de pouffer. « Assurément, nous avons des endroits dédiés aux bains mais il y aura tout à reconstruire une fois la Cité reprise. Pourquoi pas de grands espaces aquatiques ? Vous pourriez devenir la référent des eaux ». Avant le retour de son père et de la prise des Landes, Naboris avait une multitude de projets pour ses terres. Développer les échanges commerciaux et attirer de nouveaux peuples avaient été sa priorité. La jeune femme avait alors entreprit de grands chantiers afin de moderniser les infrastructures et faire en sorte d’avoir un territoire attractif pour la plupart des espèces. Aujourd’hui qu’en était-il ? Les Yigas parcouraient sa merveilleuse Cité, la foulant de leur ignorance et leur décadence. Pour la première fois depuis sa construction des hommes déambulaient librement au sein de ces murs. Sacrilège. Qu’allait-elle retrouver une fois là-bas ? Lorsque le moment serait venu, reconnaitrait-elle son royaume ?
Finalement la Gerudo finit par dévoiler sa véritable identité. Cette Kassandra lui inspirait assez confiance pour lui confier ce secret. Albafina ne serait très certainement pas de cet avis mais qu’importe. La vie comportait des risques et Naboris allait devoir en prendre si elle escomptait s’entourer de personnes fidèles à sa cause où le mensonge n’avait pas sa place. Visiblement gênée, la guerrière en armure noire la remercia de cette confiance dont elle la gratifiait… En ajoutant un petit compliment sur son prénom qui ravit cette dernière. De toute évidence la Pénitente n’était pas insensible aux charmes de l’Héritière. Séductrice de nature elle se plaisait à plaire, surtout envers une aussi belle femme telle que cette Kassandra. « Kassandra est tout aussi joli », glissa-t-elle en plongeant de nouveau ses prunelles dans les siennes.
La guerrière lui demanda un délai pour confirmer son envie de la rejoindre, ce dont Naboris comprenait aisément. Elle prit la deuxième choppe qu’avait refusé la Pénitente pour en boire une gorgée. « Prenez votre temps. La reconquête des Landes n’est pas pour demain. Faites ce que votre cœur vous pousses à faire. En ces jours sombres les innocents ont toujours besoin d’avoir la servante d’Hylia pour les aider. Je m’en voudrai de vouloir me l’accaparer pour moi toute seule… » lui dit-elle une nouvelle fois, charmeuse. Jouer ainsi était dans son caractère et ce moment lui rappelait sa vie dans les Landes. Là-bas les mœurs plus libérés qu’en ce royaume donnaient lieu à de nombreux moments enivrants, voir excitants, tels que celui-ci. Ça lui manquait. Lorsque Kassandra évoqua de se retrouver plus tard dans un autre endroit et qu’elle se pencha un peu plus vers, elle s’imagina un instant qu’elle allait l’embrasser. Ça aurait été… Intéressant mais aussi peut-être un peu déplacé de son point de vu. En tout cas pour le moment. La Pénitente s’excusa alors de ne pas prendre sa boisson qui lui était offerte. Naboris haussa les épaules. « Elle ne sera pas perdue pour tout le monde, soyez rassurée ». La Gerudo la finit, terminant le breuvage d’une traite. « Si vous souhaitez encore d'une vulgaire Pénitente dans cinq jours, j'arriverais normalement au début de la nuit et j'aurais bien besoin de compagnie pour me lancer dans ce nouvel objectif, Naboris ». Cette dernière acquiesça tout en rabattant son capuchon pour dissimuler de nouveau ses traits. Elle se releva alors, faisant crisser les pieds de chaises sur le parquet pour venir au niveau de la guerrière et lui glisser à l’oreille en chuchotant tout doucement : « Accomplissez votre devoir sans vous pressez, j’attendrai votre réponse. Encore une fois rien ne presse, je ne vous demande pas à renoncer à votre vie. Juste à vous tenir prête le jour où je vous appellerai… Et lorsque vous reviendrez nous en discuterons autour d’un bon repas dans un endroit plus… Intime. Prenez soin de vous et merci de m’avoir écouté. Qu’Hylia veille sur vous ». C’est sur ses mots que Naboris prit congé, laissant derrière elle la Pénitente.