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Entre les montagnes et les champs de la vallée, Robyn avait été très vite charmé par la ville de Psysalis. Il avait aussi réussi à trouver quelqu'un qui pourrait soigner ses brûlures pour un prix modique – il avait suffisamment abusé de la générosité de Fallon qui avait insisté afin de régler la note pour sa chambre – sans qu'il n'ait à se déplacer trop loin de l'auberge. Le moment de la journée qu'il préférait, c'était ses promenades avec la Twili pour découvrir le paysage, le tout dans une atmosphère plutôt paisible, donc il ne souhaitait pas y couper court pour cette raison. Il leva d'ailleurs le pouce bien haut sans grimacer pour lui prouver qu'il se portait déjà beaucoup mieux ! Il ne lui resterait plus qu'à tester les eaux pour ce qui est de s'envoler.

Sur le chemin du retour, la demoiselle exprima le souhait de passer par la maison Hesediel. Pour sa part, Robyn allait faire un petit détour par la cuisine pour récupérer un verre d'eau. Lorsqu'il poussa la porte, les servantes étaient en train de discuter à propos d'une arrestation qui ne le concernait donc pas le moins du monde. Il ne prêta qu'à moitié attention à leurs mots jusqu'à ce que le nom de Fallon soit mentionné, occupé à trouver un peu d'eau fraîche. Personne ne semblait faire attention à lui non plus. Il faut dire qu'il avait la tête de l'emploi ! De toute façon, dans le cas contraire, le nom de son amie serait suffisant pour qu'on lui donne à manger et à boire pendant qu'elle allait passer un peu de temps auprès de sa famille.

« Cela semble l'avoir bouleversée ... Elle n'a même pas touché à son gâteau hier ... »
Voilà qui était étrange en effet. Cela lui fit froncer les sourcils, contrarié, et il saisit un plateau en argent sur lequel il déposa presque discrètement des biscuits secs et deux grosses brioches encore tièdes, hochant ensuite la tête, car le voleur venait d'avoir une autre de ses excellentes idées, et il ajouta toutes sortes de petits hors-d'œuvres ou autres mets pour créer un beau pique-nique en perspective. Il trouverait un moyen de la faire sourire, nom d'une plume. C'était le moins qu'il puisse faire pour la remercier de son soutien ! Il aurait été perdu sans son aide !
« La pauvre chérie, elle espérait sûrement que son fiancé revienne au même moment parce qu'il avait retrouvé la raison. »

Robyn avala sa gorgée de travers et il interrompit cette charmante discussion par une toux plutôt bruyante, tandis qu'il essayait de reprendre son souffle. Il avait failli échapper son plateau et son verre au même moment. Est-ce qu'il avait bien entendu ? Cela n'aurait pourtant pas dû le surprendre autant. Fallon était une dame de noble naissance, bien sûr qu'elle était promise à un homme qui pourrait lui offrir tout ce qu'il y a de plus beau. Un homme qui ne lui ressemblait pas.

Il ne pouvait pas tout gâcher en l'entraînant dans ses aventures. Ayant perdu son appétit pour le moment, Robyn quitta la pièce par une porte arrière donnant sur la cour, le teint un peu pâle, d'un pas rapide, au même rythme que son cœur battant. Il avait besoin d'air. Il avait besoin de réfléchir. Quelqu'un dirait bien à son amie dans quelle direction il était parti, et peut-être même pourrquoi, si cela l'intéressait. Si elle remarquait seulement son absence.

Ses pas le menèrent à l'écurie. Il déposa son plateau dans un coin, hors de la portée des chevaux, parce qu'il n'était pas né de la dernière pluie en tant que brave fermier. Il s'allongea ensuite dans la paille et croisa ses avant-bras sous sa petite tête, fermant les paupières, dans un soupir. Cet endroit lui rappelait la maison. Il s'était accroché désespérément à Fallon, ces derniers jours, au cœur de la tempête, mais maintenant qu'il était arrivé à destination, la Twili n'avait plus de réelle obligation envers lui. Elle avait retrouvé sa famille, sa patrie, et sa belle vie tranquille, alors il comprendrait qu'elle ne souhaite peut-être plus fréquenter un petit voyou, maintenant, surtout si ses parents n'approuvaient pas ce choix.

Le Piaf oubliait parfois qu'il ne vivait pas dans le même monde que Fallon quand il la regardait par exemple s'occuper des chèvres et des canetons avec lui sans aucune difficulté, parfois avant de la faire tourner sur un air de danse pour la faire rire, ou encore explorer de nouveaux horizons d'Hyrule qu'il lui faisait découvrir à travers son regard, ce qu'elle lui avait rendu aujourd'hui. Il avait peut-être encore été bien naïf. La réalité venait de le rattraper brusquement. Allait-il donc devoir lui dire adieu dès qu'il serait complètement remis sur pied ? Cela le rendait bien triste. Il était surtout déçu qu'elle n'ait pas été tout à fait honnête envers lui qui s'était pourtant montré très gentil et sincère malgré leurs départs un peu houleux. Il cacha son visage sous ses ailes, avec un nouveau profond soupir, faisant un peu la tête, et tant pis pour la paille puisqu'il n'avait pas de chapeau. Robyn n'avait pas vraiment son mot à dire dans toute cette histoire même si cela l'embêtait. Le moindre choix concernant son avenir ne revenait qu'à elle seule.

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Le bruit de quelques pas aurait été suffisant à ce que Robyn comprenne qu'il n'était plus seul. Pourtant, il restait encore un espoir que cette personne passe son chemin, jusqu'à ce qu'un léger poids se dépose à ses côtés sur la paille. Il n'avait sûrement pas le droit de se trouver ici de toute façon. Le Piaf profita de ce moment de silence, concentré sur sa respiration, sur les odeurs de cet endroit, sur le sentiment de calme qui l'avait envahi. Il poussa tout de même un léger soupir lorsque le silence fut rompu. C'était bel et bien Fallon qui l'avait trouvé. D'un côté, c'était sûrement mieux ainsi, au lieu de se faire jeter dehors, sans plus de cérémonie. De l'autre, cela signifiait qu'il était bien obligé d'affronter la réalité avant d'avoir pu digérer l'information, ses sentiments à fleur de peau, comme d'habitude, quoi. Est-ce que tout allait bien ? Un rire presque fou le secoua de part en part. Bien sûr que cela n'allait pas. Il ne savait plus quelle était sa place dans ce monde. Il croyait avoir trouvé un pilier auprès de la Twili. Elle lui aurait offert une bien belle rêverie éveillée, et des souvenirs précieux, auxquels s'accrocher.

« Pourquoi perds-tu ton temps avec moi Fallon ? » demanda-t-il dans un souffle.

Il ne cherchait pas à la blesser. Il s'agissait d'une question légitime. Il avait retrouvé sa mère après tout. La situation n'était pas tout noir, ni tout blanc, mais c'était un point de départ. La jeune femme avait rempli sa part du marché. Elle ne lui avait rien demandé en contrepartie. Pas jusqu'à maintenant quoi qu'il en soit. D'autres personnes avaient plus besoin de son aide qu'un Piaf qui parlait trop et qui ne lui attirerait que des soucis. Leur voyage touchait peut-être à sa fin.

« Je suis au courant pour ton fiancé. Tu n'as plus besoin de faire semblant. »

Il lui cachait encore son visage, marqué par tant d'émotions. Pourtant, il n'opposerait pas de résistance particulière si elle écartait ses ailes et ses bras avec douceur pour s'assurer qu'il se portait bien ou pour affronter son regard avec toute la douceur qui la caractérisait. Il ne s'était pas tourné dos à elle, après tout. Il ne savait même pas exactement pourquoi cela le contrariait autant. Ou alors, il préférait se mentir à lui-même.

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La protection de ses ailes avait un effet à double tranchant. Robyn ne pouvait pas voir le visage de son amie afin de savoir si ses mots résonnaient de vérité ou n'étaient qu'un mensonge pour se moquer de lui. Il ne savait plus trop quoi penser. Il avait donc fermé les paupières et se remémorait leurs moments partagés. Chacun lui était précieux. Le Piaf se mordit les lèvres de remords avant que le moindre mot ne lui soit adressé. Fallon n'était pas comme cela ...

Il percevait tant de tristesse et de douleur dans la voix étranglée qui lui assurait qu'il avait tort. Il ressentait exactement la même chose et cela le troublait beaucoup. Il ne pensait pas que cela la bouleverserait autant. Robyn sortit enfin son visage de sa cachette, lentement, presque prudemment. Son regard se posa sur celui de Fallon et il sut alors tout simplement qu'il avait été cruel, sans le savoir et sans le vouloir. Silencieux, le voleur se remit en position assise à ses côtés pour se trouver à sa hauteur. Il cueillit ses larmes entre ses doigts pour les chasser.

« Je suis désolé. » murmura-t-il.

Désolé qu'elle n'ait pas eu droit à ce bonheur. Désolé que Metzli ne soit pas un pays clément pour les innocents. Désolé d'avoir pensé qu'elle pourrait l'abandonner. Désolé d'avoir remué le couteau dans la plaie. Désolé d'assumer qu'il était important à ses yeux peut-être un petit peu aussi. Par contre, tout cela lui avait permis de la rencontrer, alors il devrait peut-être remercier cet imbécile s'il croisait sa route un jour. Il n'était pas désolé pour cela. Personne n'est parfait !

« Je suis mal placé pour t'en vouloir de toute façon. » tenta-t-il de plaisanter, égal à lui-même.

Est-ce que c'était maladroit ? Sans doute un peu, mais il n'avait trouvé rien de mieux pour alléger l'atmosphère et ce n'était pas vraiment un secret. La troupe l'avait bien taquiné quand il leur avait présenté la Twili. Cela l'avait mis terriblement mal à l'aise ! Elle aurait pu changer d'avis à ce moment-là et décider qu'il pouvait gérer ses soucis tout seul, peut-être qu'il ne méritait rien de mieux, après tout. Cela l'avait surpris quand Fallon s'était joint à leurs rires.

« Nous n'avons pas tout à fait trouvé ce que nous cherchions en revenant ici tous les deux ... »

Le Piaf avait repris rapidement son sérieux et ses traits étaient marqués d'une certaine détermination. Il serra l'une des mains de son amie dans la sienne. Il ne voulait pas non plus qu'elle pense qu'elle était une simple distraction pour lui, une femme parmi tant d'autres. Oh, il n'aurait jamais pu penser cela. Elle avait éclairé ses heures les plus sombres.

« Mais nous sommes ensemble. »

Oui, il n'avait pas vraiment besoin de le souligner, cela sautait aux yeux. Elle se tenait tout près de lui. Toutefois, Fallon comprendrait peut-être ce qu'il cherchait à dire et en serait émue. Ensemble, rien n'était insurmontable. La douleur était moins difficile à supporter. Il espérait que cela soit valable de son côté également, mais ce n'était pas si grave, si ce n'était pas le cas, il avait quand même préparé ce festin pour lui remonter le moral avec toute la bonté dont il était doté.

« Cela me rend vraiment très heureux. »

Il lui adressa un sourire tendre et sincère.

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Le temps s'était suspendu, en effet. Fallon n'était pas la seule à retenir sa respiration. Face à n'importe quelle autre femme, sa réaction ne se serait pourtant pas fait attendre. Le beau séducteur l'aurait rapprochée tout contre lui, dans le creux de ses bras, pour l'entraîner dans un baiser qu'elle ne risquait pas d'oublier du jour au lendemain. Ce n'était pas un sourire mutin qui se trouvait sur le visage de Robyn, mais bien une expression de stupéfaction qu'il ne parvenait pas à contenir. La question timide résonnait encore en écho dans ses oreilles. Elle voulait l'embrasser.

Le jeune homme ne s'était jamais laissé aller à découvrir l'amour, mais quoi qu'il en soit, il croyait connaître suffisamment la Twili pour affirmer qu'elle ne disait pas cela à la légère ou par simple envie de goûter à une nouveauté. Elle lui portait de réels sentiments. Il ne pouvait pas agir avec insouciance comme d'habitude et prendre le risque de lui briser le cœur. C'était Fallon. Elle était si gentille. Elle était aussi déterminée. Il fallait l'être pour se tenir à ses côtés. En toute franchise, cela l'étonnait qu'elle n'ait jamais insisté pour l'accompagner dans une expédition. Son rire si doux semblait pouvoir faire disparaître toutes les craintes de son ami à plumes. Il suffisait que Robyn ouvre enfin les yeux et qu'il lui tende la main pour lui donner des ailes, mais il n'osait pas bouger. Pas encore. Il scrutait son visage en silence, n'y trouvant qu'une certitude admirable. Pouvait-il en dire de même ? Elle avait déjà souffert profondément de la manipulation et la trahison d'un homme. Il ne lui ferait pas supporter cette douleur à nouveau. Cela la détruirait. Il ne le devait pas. Il ne le pouvait pas. Il ne serait jamais capable de lui faire du mal.

Le voleur n'avait pas tout à fait réalisé à quel point il tenait à elle avant ce jour. Avant qu'il ne soit presque trop tard. Une erreur qu'il avait pourtant déjà commise. C'est vrai ... Et Jodariel dans tout ça ? Il avait commencé à cesser de croire qu'il la reverrait un jour, après les drames et les déceptions qu'il venait de traverser, mais cela ne changeait pas l'affection qu'il lui portait ...

Hésitant, il aurait pu trouver des dizaines de raisons pour lesquelles c'était une mauvaise idée. Il était trop vieux. Il ne savait pas vraiment s'il était capable d'être fidèle. Il était un bandit et toutes les meilleures intentions du monde ne changeaient pas ce fait. Il ne pouvait pas exactement retourner à la ferme après tout. Mais Fallon devait déjà avoir réfléchi à tout ça. Elle était sûrement craintive d'être un peu gauche et maladroite d'ailleurs, d'autant plus alors qu'elle se voyait confrontée à l'expérience du Piaf. Cela ne l'avait pas empêché de prendre son courage à deux mains afin de lui révéler ce qu'elle ressentait pour lui. Tout cela ne la rendait que plus attachante encore aux yeux pâles de cet étranger qui avait le cœur sur la main. Son expression s'adoucit peu à peu. Devant ce visage aux yeux de biche, il était parfaitement démuni. Il apporta la main de la Twili contre sa joue ronde et rugueuse. Cela l'apaisait toujours. Il aurait suffi de s'égarer à peine quelques centimètres plus loin pour découvrir le contour de ses lèvres et la sensation de celles-ci sur sa peau. Leurs regards pouvaient alors parfaitement se perdre l'un dans l'autre. Parvenait-elle à percevoir déjà sa réponse ?

« Tu n'as pas besoin de me demander la permission pour ça, princesse. » souffla-t-il d'une voix basse, en proie à ses propres émotions.

Cela faisait un bon moment qu'il ne lui avait pas adressé ce petit surnom. Elle lui avait demandé de ne pas le faire après tout. À cet instant, il n'avait jamais sonné plus juste aux oreilles de Robyn. Il la laisserait prendre tout son temps. Il ne désirait pas précipiter les choses. Il en savourerait chaque seconde. Et si jamais la belle Twili faisait marche arrière, même au dernier moment, en s'excusant et en laissant libre cours à des larmes, il la rassurerait avec un simple sourire dont il avait le secret afin qu'elle ne se sente pas mal à l'aise en sa présence à l'avenir.

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Ah, la douceur d'un baiser. C'était sans aucun doute l'une des choses que Robyn aimait le plus au monde. Cela avait le goût des fleurs qui s'éveillent au printemps et de la rosée du matin. C'était d'autant plus agréable lorsqu'il s'agissait d'une femme qui était devenue aussi importante pour lui. L'espoir pouvait renaître au fond de ses yeux moins ternes et fatigués. Depuis leur départ de Melka, le poids sur son cœur n'avait fait que s'alourdir, mais il avait l'impression de pouvoir respirer sans difficulté, de nouveau, maintenant, ainsi apaisé. Elle ne le laisserait pas tomber. Il garda Fallon dans ses bras un peu plus longtemps. Un large sourire éclaira son visage en réponse à cette phrase remplie de sincérité. Il avait envie de crier son bonheur au monde entier ! Il était un homme exubérant qui vivait chacune de ses émotions pleinement. De toute façon, ce n'était pas les chevaux qui allaient trahir leur secret.

« Je pourrais passer des heures comme ça ... » déclara-t-il, un brin rêveur et bienheureux.

La paille en moins, idéalement, parce que cela piquait un peu. Plus que son visage en tout cas. Cette fois, ce fut à son tour d'offrir une délicate caresse de sa main contre la joue de Fallon, avant de se tourner légèrement vers le plateau qui n'avait pas bougé. Le roturier se mit presque à courir dans sa direction pour s'assurer que tout était intact et n'avait pas fondu à cause du temps doux, le visage et les mouvements inquiets. Il ne devrait sûrement pas penser à manger dans un moment pareil mais le Piaf était une éternelle girouette. Il était parfois difficile de savoir sur quel pied danser avec lui. Il espérait que c'était une raison pour laquelle il avait réussi à la charmer et que cela n'allait pas finir par la lasser.

« Mais je nous avais pris plein de bons petits plats à manger en profitant de l'air frais. Ça serait dommage de les gaspiller. Les servantes ont dit que tu n'avais pas beaucoup d'appétit hier ... »

Elle n'était pas obligée de lui en parler. Au contraire, il voulait lui changer les idées, avant de l'accuser un peu injustement. Peut-être qu'il en avait trop pris, mais il voulait goûter à tout ce qu'il ne connaissait pas ! Robyn baissa un peu les yeux. Il réprima son envie de se mordre les lèvres, se sentant bien gêné, tout à coup. Il n'avait pas toujours eu le loisir de manger à sa faim. Mais il devait bien prendre des forces avant de vérifier si son aile était encore capable de le porter, non ? Il saisissait surtout la première occasion de repousser un peu plus ce moment fatidique. Cela lui faisait si peur. Est-ce que son amie s'en doutait seulement ?

« Je ne les ai pas volés. Pas vraiment. Tu as dit que je pouvais me servir. » Il fit une sorte de grimace avant de poursuivre. « Je suppose qu'on peut toujours rapporter les restes à la cuisine. Chez moi, je les aurais redistribué à quelqu'un qui en a plus besoin, mais je ne connais pas bien les coutumes de Metzli, ni celles de la noblesse, en fait. De toute façon, je pense qu'on ne me laisserait pas m'approcher parce que je ne suis pas un Twili ... »

Oui, il parlait trop, surtout quand il était nerveux. Il ne voulait pas causer des ennuis à Fallon.