RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

An 1000, Lune 2, Jour 7.
Tout autour des nobles et de la reine, un mur de bouclier blanc s’est dressé d’un seul homme sur les ordres de l’Argenté. La mission de la Garde Blanche n’est pas l’attaque des assaillants, elle laisse ça aux autres gardes du château dont c’est la prérogative principale. Pour Jacerys et ses hommes, la priorité absolue est de sortir tout ce petit monde de ce guêpier. Malgré la défense offerte, son propre frère fend le mur de bouclier pour rejoindre Aelys qui se trouvait auprès de Eardan, son écuyer. Qui sait quand et depuis où, un nouveau carreau d’arbalète pouvait être envoyé. La menace finalement ne vint pas de ce spadassin qui a vite quitté le surplomb de l’antichambre du trône. Mais de la Piaf qui perd le contrôle de ses propres pouvoirs.

— Garde Blanche. Reculez ! En ordre serré.

Il tente d’avoir l’esprit clair pour ordonner la retraite de leurs protégés vers l’arrière-salle du trône qui est comme le Saint Des Saints dans le château d’Hyrule. Un endroit sécurisé comme peu le sont dans la citadelle et où les « invités » sont rares. Du coin de l’oeil, il observe Zelda dont Naboris assure la protection à défaut de pouvoir le faire lui-même. Jacerys en a le coeur au bord des lèvres.
Puis il s’adresse à son écuyer avant d’opérer la retraite.

— Eardan ! Met cette femme hors d’état de nuire et rejoignez-les rangs tous les trois !

Les hydres d’ombre font plus de mal que de bien. Une menace que les défenseurs ne peuvent pas se permettre de gérer en plus de la débâcle actuelle. Si la jeune Piaf était assommé alors tout s’arrêterait, non ? Aux grands maux, les grands remèdes. Son regard de dirigeait vers son cadet, exposé à la moindre attaque ou mouvement de foule. Il jure dans ses dents.

— Dépêchez-vous !

Et déjà, le petit groupe sous la protection magique de la reine, se met en marche pour quitter la salle du trône.

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RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

Asumi & other

An 1000, Lune 2, Jour 7.
J'arrive dans le dos de mon adversaire qui me voit arrivé et me projette. Je me retrouve donc aux prises avec lui alors que... Bon, soyons honnête, je ne comprends plus rien à ce qu'il se passe dans la salle. On a eu un prisonnier qui a tenté de s'échapper après nous avoir tous rendu paranoïaque, des mecs bizarres qui sont rentrés sans être fouillé, un assassinat et maintenant... un hydre d'ombre. Il va être pas mal le compte rendu de la journée d'aujourd'hui. Pour une démonstration de force, on passe vraiment pour des guignol. Bon, je ne suis pas mieux, je viens de me faire projeter par un mec de dos et c'est la panique dans une salle que Jacerys m'avait demandé de garder sous contrôle au départ. Mais, vraiment comment ses mecs armée ont put rentré ? Il doit forcément y avoir un traitre pour leur venir en aide, je ne les ai jamais vus. Il va falloir que je parle à Zelda sous peu, s'il y a un traitre parmi nous, même ses conseillers pourraient être dans la confidence et attenter à sa vie.

Je me relève rapidement l'homme en capuche essaye de profiter du chaos pour s'enfuir... logique. Mais il n'en est pas question. J'ai failli une fois auprès de Zelda, ma reine et mon amie. Si je ne reviens pas avec cet homme mort ou vif auprès d'elle, je ne pourrais plus jamais la regarder en face. Je charge dans sa direction, poussant noble et fuyard devant moi. Il ne m'échappera pas, il a autant de difficultés que moi pour fuir. Mon ombre se pose sur lui, je bande alors ma volonté pour que l'ombre se transforme en matière visqueuse, ça va ralentir le ralentir assez pour que je puisse le stopper et cette fois, pas de dentelle. Je me prépare pour lui placer un coup à l'arrière de la tête. Pour ne pas qu'il est le temps de s'enfuir ou de comprendre, j'enchaîne sur un grand coup de pied dans son mollet et pour finir je le pousse vers le sol en arrière pour qu'il soit couché sur le dos, je m'assois sur lui a califourchon en bloquant de tout mon poids ses bras bloqué par mes jambes afin qu'il ne bouge plus et je finis le mouvement en plaquant mon bâton sur sa gorge de façon à gêner sa respiration.

Bon originellement, on plaque l'ennemi au sol sur le ventre, mais vue la situation on s'en contentera. Il y a toujours une énorme différence entre la théorie et la pratique. Je désactive aussi mon sort d'entrave, il me fatigue trop pour le maintenir.

(c) DΛNDELION

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

An 1000, Lune 2, Jour 7.
Bon sang, que se passait-il ? Eardan était perdu au beau milieu de ce bordel. En se levant ce matin, il avait eu un doute sur l’utilité de cet interrogatoire public. Le moment idéal pour l’ennemi de nouveau secouer la royauté. Non loin de ce prisonnier au tempérament exécrable, l’écuyer plissait les yeux, se retenant de lui flanquer un coup de poing. Il s’évertuait à donner des réponses volontairement vagues, parfaites pour semer le doute quant à l’allégeance de certains présents ici. Le Yiga posa de nouveau son attention sur Meira, comme s’il la connaissait. Qu’est-ce-que cela signifiait ? Une chose était sûre, le brun resta silencieux mais n’oubliait pas cet geste suspect. Malheureusement, il n’eut guère le temps d’y réfléchir davantage que la panique gagna l’assemblée alors qu’un noble Hebrien venait d’être assassiné et qu’une flèche fendit l’air, emportant avec elle une partie d’un de ses cheveux.

En cet instant, la priorité n’était plus vraiment à contenir cet impotent de prisonnier. Eardan pesta dans sa barbe en voyant la situation devenir aussi incontrôlable, voilà qu’à présent, des hydres se mouvaient dans tous les sens. Ils venaient de la jeune femme s’étant approchée de lui, une Piaf éprise de panique et qui perdit la maîtrise de ses pouvoirs. Et soudain, un cri d’horreur retentit et s’offrit à sa vue un triste spectacle, ce noble baignant dans son sang, assassiné avec méthode. Si l’ennemi voulait marquer les esprits, c’était chose faite. Il évita de peur l’un des hydres d’ombre, tournant la tête vers Jacerys le poussant à faire stopper cette pauvre femme dont la peur ne faisait qu’envenimer la situation. Pas franchement ravi de blesser physiquement une femme, il poussa un soupir, encore lui qui devait faire le sale boulot. Mais avant, il voulait s’assurer que le prisonnier ne leur fausse pas compagnie. Il posa sa main au sol, aux pieds de ce dernier afin d’envelopper ses chaussures de glace. Il fit ensuite de même mais avec ses mains, afin qu’elles soient liées. Ainsi, il ne pourrait rien tenter. Voilà bien longtemps qu’Eardan n’avait pas usé de ses pouvoirs, cela le fatigua, mais l’urgence de la situation l’obligea à se faire violence. Ignorant le filet de sang s’échappant de son nez.

« Je suis désolé. »

Chuchota-t-il à la Piaf ainsi qu’à Aerys qui visiblement l’avait déjà rencontré. Il frappa sans une once de douceur la jeune Piaf avec le pommeau de son épée et laissa le Thorvald lui éviter une chute au sol. Aux grands maux, les grands remèdes.

« Venez ! »

Il invitait ainsi Aerys à le suivre pour rejoindre le petit groupe entourant la Reine. Eardan essuya le liquide carmin s’échappant de ses narines et s’empressait de rejoindre son mentor.

(c) DΛNDELION

RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

An 1000, Lune 2, Jour 7

@Naboris Dragmire a le nez fin en ce qui concerne de protéger la Reine des ombres devenues folles sous la perte de contrôle d’Aelys. La Garde Blanche est sur le coup déstabilisé par cette apparition mais @Jacerys Thorvald réussit à garder ses hommes en rang serré afin de ne pas faillir. Un serpent d’ombre s’écrase contre un pavois puis décide de s’en prendre à des proies plus « simples ».

La pauvre Aelys, en proie à la panique perd véritablement le contrôle de ses ombres.
Les hydres émergeant du sol s’en prennent à une foule déjà en panique qui se presse aux portes de la salle d’audience dans un vacarme et une cohue terrible. Les reptiles ténébreux envoient balader le prisonnier Yiga et ses geôliers d’un revers qui les écrasent contre le mur. Lincoln déjà éprouvé tombe inconscient. Les deux gardes peinent à se relever et déjà les hydres se déchainent ailleurs sur les gens les plus proches. Étonnamment, @Aerys Thorvald et @Eardan Thorn sont épargnés, certainement de part leur présence auprès de la donzelle qui finit assommée dans les bras du conseiller.

@Zelda Nohansen a beau s’égosiller pour tenter de ramener le calme, le premier sang a été versé et puis les ombres de la Piaf n’aident en rien. Elle n’aura pour l’instant ses réponses, personne ne les aura. En tout cas, si le peuple présent ne l’écoute pas, ses Gardes eux sont attentifs malgré la panique. Dépassés mais loyaux, leur capitaine arrivé plus tôt opine du chef puis motive ses troupes à venir en aide à @Asumi Miz'Kyosia mais aussi aux geôliers du Yiga inconscient qui l’exfiltrent en bon ordre. Force est de constater que l’Agente de la Reine n’a pas eu besoin de son aide avec son propre ennemi malgré quelques petits râtés au départ. Son adversaire est à sa merci.

Un Garde accouru près de @Meira Thorvald au moment où le spadassin tentait de s’en prendre à la donzelle qu’il ne connait ni d’Eve, ni d’Adam. De quoi mettre la puce à l’oreille chez cette dernière. Ce ne sont pas des Yigas qui l’auraient vu lors de sa visite et n’en porte de toute façon aucunement les signes ou les manières. Des mercenaires ? Allez savoir. Toujours est-t’il qu’il est surprit par la bourrasque de la jeune femme qui l’envoie paître un étage plus bas et s’écraser dans la salle d’audience. Le Garde proche d’elle l’emmène rejoindre les autres nobles.

Ces mêmes nobles qui sont exfiltrés à leur tour par la Garde Blanche qui recule vers le saint des saints de la salle de trône qu’est l’antichambre. Un endroit qui n’est accessible à très peu de personne, voir aucune en dehors du cercle royal. Sécurisé plus qu’il n’en faut, ici la troupe est en sécurité. Meira y arrive quelques minutes plus tard avec son garde.

La salle d’audience est désormais vide. La foule s’éparpille aux quatre vents sur le parvis de la citadelle. La Garde, l’Agente de la reine neutralisent leur assaillant. Un autre est mort. L’un est en fuite, celui à l’arbalète. Lincoln quant à lui a été ramené en toute hâte dans les geôles, surveillé par tout un escadron de l’armée Hylienne. Ne reste alors dans ce silence de plomb que le malheureux cadavre de Morhan l’Hébrien.

Dans l’antichambre se trouvent la Reine Zelda, Jacerys, Naboris, Meira ainsi que Eardan et ses deux protégés Aérys et la Piaf qui reprendrait tantôt connaissance. Asumi arrive une fois son prisonnier confié à la Garde avec l'interdiction de faillir cette fois. La situation et l’ambiance sont plus que tendues. Les regards à la fois suspicieux, d’incompréhension aussi mais surtout, de colère chez les uns ou les autres.

HRP : ceci est le dernier tour, à vous de conclure tout cela comme vous le désirez. De continuez si vous le souhaitez en RP Libre

BREATH OF HYRULE

Comment un simple interrogatoire avait-il pu prendre une telle tournure ? Aerys ne devait pas être le seul à se poser la question. Déjà que l'ambiance était tendu à cause du prisonnier, l'arrivé d'assassin yigas ou non, n'avait pas arrangé les choses. Il ne manquait plus que la jeune piaf active son pouvoir pour finir en apothéose. Heureusement pour cette dernière Naboris avait de bons réflexes et la reine ne s'était pas retrouvé blessé. Un accident certes mais c'était tout de même attaque. Le conseiller aurait bien évidemment tout mis en œuvre pour défendre sa protégée. Celle-ci était déjà mal vu d'avoir gardé le secret concernant le lieu où elle avait été emprisonné. J'aurai dû insister pour la faire voir Zelda à ce sujet mais comme elle n'avait pas voulu le faire pour sa sécurité.

L'une des hydres avait bousculé le prisonnier qui l'avait bien mérité, et malheureusement il n'était pas mort. Le conseiller était persuadé que cet homme n'allait pas parler, simplement continuer de semer le doute autour de lui. Aerys devait réfléchir à un moyen de le faire taire rapidement. Peut-être faire accuser une servante du château...L'idée prenait peu à peu de la place dans son esprit obscurcit par la noirceur de son cœur. Il avait déjà pris en main la vie de quelques obstacles sur son chemin mais c'était plus compliqué de tuer un prisonnier, encore plus dans un donjon qui sera gardé par des soldats aux aguets.

Alors que les nobles se font escorter, Aerys reste auprès de la jeune Piaf et tente de la faire se calmer. Il vient de rêver ou bien Jacerys vient d'ordonner à son écuyer de faire du mal à Aelys ? Il n'était même pas capable de réaliser lui-même ce genre de choses, confiant cette tâche à un gosse. Ce dernier s'était d'ailleurs avancé vers le duo et s'excusa avant d'assommer la pauvre piaf avec son arme. Aerys n'avait pas pu s'empêcher de jeter un regard noir envers le jeune homme et de serrer les poings. Au fond, Aerys savait que c'était nécessaire mais voir quelqu'un qu'on aime se faire frapper n'était jamais plaisant. Le conseiller se retrouvait avec la jeune femme dans ses bras mais il était bien incapable de la porter avec ses maigres forces. Il n'avait donc pas d'autres choix que de confier l'évanoui à un garde avant de suivre les pas des autres pour rejoindre l'antichambre. Là-bas, Aerys retrouva son épouse et l'a rejoignit rapidement. Prenant sa main dans la sienne.

- Vous n'avez rien ?

Il l'avait vu face à l'un des assaillants alors bien évidemment qu'il était inquiet. Son épouse était la personne avec laquelle il était la plus proche. Elle était bien plus forte que lui, rien qu’au niveau de la magie. Ce qui n’était pas si difficile, et savait donc se défendre.

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	« Until you burn »

©️crackintime

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

Naboris vit rapidement la scène après avoir entendu Jacerys. La pauvre Piaf était terrifiée autant qu'incontrôlable et Naboris savait tellement bien ce que c'était de ne pas pouvoir contrôler ses pouvoirs à cause de ses sentiments. Quand elle entendit Zelda demander ce qu'était ses choses, la Gerudo soupire. "La Piaf, elle contrôle ... Enfin, elle a le don des ombres et elle est en pleine crise de peur, donc ses pouvoirs sont incontrôlables. Ne la blâme pas pour ceci mon amie ... C'est ... comme une enfant. Je t'expliquerais ça plus tard. Pour l'heure, je te promet de ne rien faire de stupide. Mais toi, promet moi une chose ... Reste près de Jacerys et de ton agente uniquement. Ne laisse plus personne s'approcher, pas même moi." Est-ce une mise en garde ? Zelda doit comprendre qu'Hyrule n'est plus aussi sur qu'elle l'était avant. Naboris suit donc le groupe dans l'anti-chambre et elle s'approcha de la petite Piaf qui reprend doucement ses esprits. "Doucement Aelys, doucement. Tout va bien." Elle savait que la Piaf s'en voulait énormément.

"Personne n'est blessé, sauf le prisonnier. Il a prit une sacrée rouste qui la foutu KO" dit la Gerudo, une pointe d'humour dans la voix et un sourire malicieux. C'était quand même amusant de voir cet homme, ce puissant Yigas, mit à terre par une piaf totalement terrifiée. Elle voit le regard de son ami sur Aerys et Meira, elle peut y lire sa douleur mais elle ne dit rien, se mettant juste dans son champ de vision. Elle avait assez souffert. "Nous en parlerons plus tard, ne pense pas à ça maintenant tu veux bien ?" La Gerudo se redresse et soupire. "Quelqu'un a du dire le lieu, la date et l'heure de cet interrogatoire. Ce n'était pas des Yigas ... Clairement pas. Déjà, ils ne sont pas assez intelligents pour se camouflés et on les auraient directement reconnu a leur peau mate du au soleil du Desert. Peut-être des mercenaires. Mais qui les auraient envoyés ?" Soudain la voix fluette de la Piaf résonne. "Kevan ..." Naboris tourne son regard vers la Piaf qui fixe Zelda. "Majesté ... Il va falloir que je vous parle ... Seule à seule ..." Son regard glisse jusqu'à Aerys qui, elle espère, sait de quoi elle va parler à Zelda ... Son lien avec Hébra.

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

La jeune femme avait été face à un des assassin. Celui-ci avait ôté la vie à l'habitant d'Hébra. Son corps gisait non loin derrière, sans une once de vie. L'assassin fit face à elle, elle resta sur ses gardes prête à attaquer quand elle en jugerait le moment. Elle savait que ce n'était pas des Yiga. Elle les aurait reconnu, ayant vécu avec eux pendant quelques années. Ces gens étaient différents. C'était sans doute des hommes envoyé pour déstabilisé Hyrule et maintenant, c'était chose faite. Hyrule était fragilisé et sur ces gardes à présent.

Meira avait utilisé sa magie élémentaire, celle du vent, pour éloigner l'assassin. Une partie d'elle aurait pu s'en débarrasser de façon definitive. Elle en était capable. Elle maniait sa magie depuis déjà très longtemps. Elle connait ses forces.
Mais elle avait de nouvelles faiblesse. Dont une qui primait sur le reste. Son bébé. Comme elle en avait eu la démonstration quand elle était aller voir Mélody. Elle partageait son énergie avec son enfant. Et quand elle en utiliser trop, cela l'affaiblissait. La noble s'en serait voulu si elle fait de mal à son enfant. Alors elle avait suivit le garde.

Elle fût conduite dans l'antichambre. Il y avait déjà la Reine, les gardes tout autour d'elle. Son beau-frère ne quitta pas la Reine et son écuyer était non loin derrière lui. C'était lui qui avait assommée la Piaf quand elle avait perdu le contrôle sur ses pouvoirs.
Elle retrouva son époux également qui se rapprocha d'elle et lui prit la main. Il lui demanda si allait bien même si il devait connaitre la réponse. Meira savait qu'elle était bien plus forte que son époux. Mais si il avait été en danger, elle aurait tout fait pour le sauver. Il était une famille désormais. Elle aurait voulu lui parler, avoir une discussion et lui parler de l'enfant.

- Je n'ai pas une égratignure, ne vous en faites pas. Je suis bien heureuse de vous voir en un seul morceau.

Elle décida que c'était pas encore le moment. Ils n'étaient pas seul et la noble n'avait pas envie d'entendre les avis des uns et des autres concernant la grande nouvelle. Tout ceci était uniquement entre les deux hyliens.
Elle tourna la tête pour entre la petite Piaf suggérer que c'était l'oeuvre de Kevan Cantell, le roi de Hébra. Lui qui avait envoyé les mercenaires.
Si les attaques continuaient, il y avait bien plus que quelques morts. Cela se terminerait pas une guerre.

(c) DΛNDELION

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RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

Asumi & other

An 1000, Lune 2, Jour 7.

De mon côté, la situation est maîtrisée, on va dire. Des gardes arrivent rapidement pour me venir en aide, ils attrapent l'homme et le menotter. Je finis juste de dire aux gardes.

"- Ce coup-ci pas de fausse note, je le veux dans une geôle pour le cuisiner au plus vite.

- Oui, ma lady."

Je retourne ensuite rejoindre Zelda, Aelys, Naboris et Jacerys, je me rapproche de mon amie d'enfance. Je suis vraiment inquiète pour elle. On n'avait vraiment pas besoin de cela. Je me garde de toute familiarité au vu de notre position, en public en tout cas.

"- Votre majesté, vous n'avez rien ? Et vous, lady Dragmire ? Ne poussez pas trop lady Moroï, il faudra aussi que vous fassiez quelques choses pour l'hydre, s'il y a besoin, je peux vous venir en aide ? Je suis une spécialiste de la magie des ombres et une habitué de ses arcanes. Je pense pouvoir vous soulager un peu pour la bête."

Je parle rapidement, on ne va pas se mentir, je panique un peu. Je regarde autour de la salle et je finis par voir le pauvre bougre qui n'y a pas réchappé. C'est quoi son nom déjà, impossible de m'en souvenir. Je crois que c'était un noble d'Hébra qui a rejoint Hyrule après que l'autre est fait sécession.

"- Par les trois saintes mères..."

Un coup de Kevan, comme le suggère la jeune piaf ? Je le serais bien assez tôt. Je me tourne vers Jacerys.

"- J'ai capturé un de ses assassins, si vous le désirez, je peux faire préparer la place pour le cuisiner dans une heure. Mais je pense que le mieux qu'on a à faire c'est d'essayer de mettre les choses à plat et discuter calmement de ce qui vient de se passer, ce qui ne sera pas possible dans l'immédiat, à chaud, on a de fortes chances de ne pas être constructif et de s'emporter."

Pour l'instant, je préfère me taire sur le sujet du traitre. Surtout que si je demande de reculer cette discussion, c'est surtout pour laisser du temps à Zelda pour encaisser, avant que son conseillé, aussi gentil soit-il, ne la harcèle pour qu'elle ne prenne une décision, surtout que sa femme c'est retrouvé au milieu et qu'il m'a l'air d'un beau canard. Je laisse Aelys dire à Zelda ce qu'elle a sur le bout des lèvres en privé. La pauvre, se retrouver entre deux camps comme ça, ce n'est pas étonnant que son pouvoir face des siennes.

"- Ser Jacerys, déjà, je vous présente mes excuses de ne pas avoir put arrêter ses hommes. Mais j'aimerai aussi vous demander quelques choses, nous pouvons en parler en privé, plus tard ? C'est un peu urgent, mais cela peut attendre demain."

J'ai moi aussi fort à faire. Cela fait quelques temps que nous surveillons Kevan et il est plus que temps que nous abattions aussi une carte pour le contrer. Mais pour cela, je vais devoir quitter le royaume. Jacerys doit être mis au courant que ses assassins ont obtenue une aide intérieure, ce qui confirme les paroles du Yigas et qu'une enquête doit être mené discrètement. Pour le coup, tout le monde est suspect, mais le chevalier d'argent ne fait pas partie de ce que je soupçonne pour une raison simple, il est proche de Zelda et aurait put la tuer une centaine de fois s'il le voulait. J'informerai Jacerys de ce que Zelda sait déjà à propos de Kevan et je le mettrai dans la confidence de notre plan à son sujet.

(c) DΛNDELION

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

An 1000, Lune 2, Jour 7.
La perte de contrôle de la jeune Piaf était un élément aléatoire qui s'ajoutait au désastre de ce procès. Le seul moyen d'arrêter les agissements malheureux de ces ombres c'était de plonger leur manipulatrice dans l'inconscience. Un simple coup sur la nuque de la part de son écuyer tandis qu'il protégeait la reine de sa personne à l'aide des autres Gardes Blancs et tout ce petit monde put battre en retraite dans l'antichambre de la salle du trône. A l'extérieur, il n'y avait plus un bruit et l'Agente de la Reine, Asumi assura de la « fin » de cette affaire. Les conséquences allaient être fâcheuses, c'est un fait. Très fâcheuses même.

Jacerys laisse les nobles, les rois, les reines et les diplomates se charger de la politique. Lui n'est qu'un Garde Blanc, un Chevalier qui a prêté serment de protéger la Couronne, on ne lui demandera pas son avis sur le sujet. Cela dit, l'Argenté n'est pas sourd et il entend déjà les premières hypothèses quant aux réels responsables de tout ce foutoir : Kevan d'Hebra, employant des mercenaires qui plus est, pour venir frapper à même le cœur de la Citadelle d'Hyrule. Si tout cela se vérifie alors c'est une véritable déclaration de guerre que ces traîtres qui ont fait scission après le meurtre du Roi, viennent de faire.

Il félicite discrètement son écuyer pour la bravoure dont il a fait preuve aujourd'hui puis comme l'exige le code de la Chevalerie, vient auprès d'Aelys pour s'excuser quant au geste malheureux dont elle a été victime. Il espérait qu'elle puisse comprendre son point de vue. Ou pas... Mais dans tous les cas, le Chevalier d'Opale estime avoir fait ce qui est juste, pour tous. La visière relevée, son regard croise celui de son frère mais tous les deux n'échangent rien. Le dialogue reste rompu encore à cet instant. Telle une ombre, le géant Hylien vient se placer derrière la reine et se mure dans le silence jusqu'à ce que Asumi ne vienne à sa hauteur. Aux paroles de cette dernière, il secoue légèrement la tête aprés avoir finalement enlevé son casque pour le garder sous le bras.

— Vous n'avez pas à vous excuser Asumi. Nous avons tous failli. La Garde, l'Armée, moi... nous tous. Et nous allons devoir y remédier aussi de notre côté. Pour l'heure je suis de votre avis. Nous devrions escorter toutes ces bonnes gens dans leur quartier, laisser les esprits s'apaiser – son regard oblique vers la reine – prendre du repos aussi. Puis ceci fait, je compte sur notre Reine pour amorcer des discussions. Quant à Hebra...

Il est sûr que l'Agente a elle aussi entendu les hypothèses de la jeune Piaf.

— Nous devons tirer les vers du nez de ces soudards. Et de ce satané Yiga par la même occasion. Je viendrai avec vous.

Pendant ce temps, il chargera Eardan d'une première mission d'importance : ne pas lâcher la Reine d'une semelle. Jacerys garde tout de même le goût amer de la défaite ou plutôt de l'impuissance. Du dépit aussi, et de la méfiance à l'égard de tous ceux présents dans cette pièce.

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Hyrule face au Yiga prisonnier

Zelda & autres

Rapidement, tout se met en place. Le plus important et le plus urgent est de pouvoir mettre toutes les personnes innocentes présentes en sécurité. Les paroles extrêmement troublantes de son amie de cœur, Naboris, résonnent en Zelda comme un nouveau coup de poignard. La Reine le sait : elle a échoué. Elle ne sait plus à qui se fier, ni comment trouver les fautifs et les oreilles ennemies de toute cette sombre histoire. Elle qui pensait si bien faire, voilà qu'elle représente une nouvelle fois, une Hyrule affaiblie. Toutefois, l'hylienne n'a ni le temps de penser ni le temps de prier, ou quoi que ce soit d'autre que le groupe qui les escortent parvient finalement en lieu sûr dans l'antichambre. Le calme pourra sans doute revenir petit à petit, lentement mais sûrement mais Zelda affiche une expression plutôt bouleversée mais également paniquée. Quelles répercussions Hyrule va-t-elle encore subir ? Ce sont les paroles d'Asumi qui ramènent Zelda de ses songes, son Agente s'enquiert de l'état de l'hylienne mais également des personnes lui l'entourent comme Naboris et Aelys. Intérieurement, la Reine ne peut que soutenir les paroles sages d'Asumi suggérant un meilleur contrôle de ses pouvoirs à la pauvre petite Piaf apeurée. Zelda soupire, elle ne peut pas s'empêcher d'être en colère, cette audience n'a apporté ce qu'elle espérait, pire, tout s'est mal terminé. Enfin, il va lui falloir un peu de temps pour assimiler les informations qui sont tout de même parvenues à Hyrule.

« Tout va bien, je m'estime chanceuse d'avoir été protégée. J'espère que tout le monde va bien. »

C'est insupportable pour Zelda.
Cette situation. La mort de son allié Hébraïen. Ce prisonnier qui n'a pas su apporter toutes les informations que la Reine souhaitait en organisant cette audience. Toutefois, l'hylienne essaie de rassembler son courage et sa sagesse pour ne pas envenimer l'ambiance déjà pesante et tendue dans la salle. Alors qu'elle commence à s'adresser à ses proches protecteurs, la voix d'Aelys la surprend et la coupe dans son élan. Le regard impressionnant de la Reine se dirige vers celui de la jeune femme qui évoque le prénom de Kevan et son souhait d'obtenir une entrevue.

« Lady Aelys. Reprenez des forces et vos esprits, je vous accorderai une entrevue privée. Je vous le promets. »

Dit-elle en levant enfin son regard à peine apaisé vers Naboris, sans doute faudra-t-il qu'elle discute également avec son amie de cœur. Mais débuter une nouvelle audience isolée tout de suite n'est pas parmi les choses que peut faire Zelda dans l'immédiat. L'hylienne a certaines choses à évoquer avec son cercle proche. Et puis, elle aussi, est secouée et doit calmer ses envies vengeresses, en plus de devoir gérer toutes ces informations. Mais elle est persuadée que des réponses évidentes se sont trouvées devant leurs nez à tous, dans cette salle d'audience. Il va falloir que la Reine s'arme de sagesse et mette son esprit logique à l'œuvre pour démêler le vrai du faux de cette histoire.

Avant de se retirer, la Reine, sous la suggestion très juste de son aimé, Jacerys, ordonne à ce que les personnes ici présentes soient escortées jusqu'à leurs quartiers. Elle ne manque pas d'assurer que tout se passera bien, que nécessaire sera fait. Enfin, Zelda se tourne vers la petite assemblée qui commence dors et déjà à se vider et se tourne vers Asumi. « Il faut que je m'entretienne avec toi, Asumi mais plus tard. Laissons un peu l'espace de respirer. » Plus tard, un Conseil sera convoqué à la suite. Chaque chose en son temps. Mais pour l'heure, la Reine se retire dans ses appartements pour faire le point, seule avec elle-même dans un premier temps.

(c) DΛNDELION

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Queen of light

Queen of wisdom

KoalaVolant

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Hyrule face au Yiga prisonnier

RP commun

An 1000, Lune 2, Jour 7.
Eardan, après avoir assommé la jeune Piaf s’empressa de suivre les Gardes dans un endroit plus sécurisé, loin de la cohue créée par cet acte odieux. Un noble tué, baignant dans son sang. Une image qui n’était que trop familière pour l’écuyer qui affichait un air plus blême qu’à l’accoutumée. Lui qui était si prompt à plaisanter se renfermait dans un mutisme inhabituel. Désormais dans l’antichambre, il ressassait tout ce qui venait d’arriver, des regards insistants du Yiga en direction d’Aerys ou encore de son épouse. Tant d’éléments suspects. Les mots de Naboris étaient véridiques, ils n’étaient pas assez intelligents pour trouver l’heure et la date de l’interrogatoire. Quelqu’un de l’intérieur leur fournissait l’information. Une certaine paranoïa étreignait alors le jeune écuyer dont les opales se glissaient sur chaque visage, tentant de déceler de possibles réactions pouvant les trahir. Malheureusement, il était trop sous le choc pour en deviner. Lui, à l’image de son mentor n’était pas là pour la politique mais pour s’assurer de la sécurité de tous. Bientôt, il deviendrait chevalier mais le chemin était encore long pour qu’il en soit digne. Néanmoins, les encouragements de Jacerys le rassurèrent, il hocha la tête, échangeant un regard déterminé avec l’argenté. Il espérait sincèrement que ce dernier ne doutait pas de son allégeance et de sa loyauté. Qu’il ne croit pas qu’il était de ceux qui pactisaient avec l’ennemi. Il n’avait rien d’un traître. Il n’était pas comme ce Kevan d’Hebra qui avait osé faire appel à des mercenaires pour faire la sale besogne. De nouveau, les images du sang le hantèrent, il retrouva pied à la réalité lorsque les différentes personnes prenaient la parole.

Comme l’exigeait sa place, il ne dit mot quant à ses doutes sur l’allégeance de certains. Ce n’était nullement son rôle, lui qui n’avait rien de noble dans le sang ou le nom. S’il était de nature taquine, il n’en n’était rien à présent. La gravité de la situation exigeait une attention de chaque instant. Jacerys lui confia la mission de ne pas quitter la Reine, de s’assurer de sa protection. Une mission importante qu’il accepta et qu’il comptait remplir avec force. Tandis que le Garde Blanc ordonnait que les nobles soient escortés jusqu’à leurs quartiers, lui suivit Zelda jusqu’à ses appartements. Il se posta devant la porte, à l’affût. Il était encore sous le choc de tout cela. Choc mêlé à une certaine frustration de n’avoir rien pu faire pour sauver la vie de ce pauvre homme. Cela le ramenait plusieurs années en arrière, à son premier échec, celui de n’avoir pu protéger son père adoptif. Mais pour la Reine, pour le royaume, pour le peuple, il ne faillera pas.

(c) DΛNDELION

RP commun : Hyrule face au Yiga prisonnier

An 1000, Lune 2, Jour 7

Les conséquences

Après le désastre du procès de Lincoln le Yiga, il fut décidé de raccompagner dans les quartiers de la Citadelle, tous les nobles, diplomates et souverains présents à Hyrule. Ces derniers sous bonnes gardes fut tout aussi tenus à l’œil par la Garde Blanche et les Agents de la Couronne. Un climat de suspicion général s'est installé dans le château. L'assassinat du comte Hebrien, Morhan ainsi que la discorde apportée par le Yiga n'a aidé en rien à garder la noblesse Hylienne et ses alliés sur une bonne longueur d'onde. En somme : Hyrule est déstabilisée. Elle a montré une faille, une faiblesse terrible dans laquelle s'est engouffré un ennemi qu'elle ne soupçonnait pas encore.

Durant les jours qui suivirent, les Agents de la Couronne menés par Asumi Miz'kyoza aidée par Jacerys Thorvald ont pu faire parler l'un des rares assassins encore en vie ainsi que leur prisonnier qui aurait dû être interrogé au sus de tous. Les moyens ne furent pas très éthiques, il en convient mais c'est une question de sécurité royale. Cela permit d'apporter d'une part, la preuve de l'implication d'Hebra et de son roi, Kevan. Preuves appuyées par les premiers témoignages d'Aelys incriminant le souverain dissident. L'assassinat de Morhan, noble Hebrien attaché à l'alliance avec Hyrule était un message clair tout autant que la présence de spadassins à sa solde : Montrer la faiblesse de la Couronne Hylienne et de sa souveraine mais aussi montrer que Hebra est définitivement hostile à cette dernière.

Malheureusement, ce message n'aura pas eu besoin des aveux du mercenaire pour se répandre comme une traînée de poudre au sein de la Citadelle, parmi les mauvaises langues de la Cour pour atterrir dans les oreilles du peuple Hylien qui se retrouve désormais partagé entre un soutien à la Reine toujours indéfectible et une défiance claire à son égard. Le moral de la population n'a jamais été aussi bas et son unité... divisée.

Dans un second temps, ce fut au prisonnier Yiga d'enfin cracher le morceau avec le peu de dents lui restant. Épuisé par son emprisonnement sec d'avant le procès puis de la « question » menée par les Agents et la Garde Blanche, ce dernier finit par révéler les informations que souhaitait la Couronne et plus encore : l'implication des Yiga auprès de Kevan d'Hebra, les vues de ce dernier sur les îles Libres ainsi que quelques données stratégiques concernant les Landes Sauvages ainsi que les prisonniers Hyliens encore en vie. Ils sont peu, mais il en reste. Une lueur d'espoir tant pour reconquérir le cœur du peuple et sa confiance que retrouver des êtres chers. Hyrule a été malmenée mais tient peut-être l'occasion de montrer qu'elle n'est pas tombée.

Précisions : Pour avoir des précisions sur le moment où les informations sont dévoilées : L'assassin parle le Jour 8 et Lincoln parle le lendemain, le Jour 9. Les nouvelles et les informations sont connues officiellement au Jour 11.

BREATH OF HYRULE

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