Jour 28, Lune 5, An 1000 ー Peut-être qu’Aslath était un peu fou d’avoir fait jouer un rôle à la Dame Moroï en lui demandant d’emmener Meerie et lui-même à cette noce. Mais il avait quelque chose à y faire. D’important pour ainsi dire. Quoi qu’il en dise, voire @Mysa Arlaeron était important, la voir dans la robe somptueuse qu’elle lui avait décrite dans leurs échanges épistolaires serait toujours bien mieux que de ne jamais la voir de ses yeux. Mais le piaf sait parfaitement qu’elle serait sans doute émue, si ce n’est tétanisée de voir qu’il avait traversé un pays ennemi au sien pour venir admirer quelques broderies. C’est pour ça qu’il s’avance — non sans peur — vers la délégation de Lanelle. Il avait traversé dans de lieux qu’il n’allait pas faire machine arrière, plus maintenant. Contrairement à ce qu’il aurait habituellement fait, Aslath se montre courtois, mais bien plus cavalier qu’il ne le serait habituellement. Sans mauvais jeu de mots, elle lui faisait pousser des ailes. Ainsi, comme il l’avait prévu, elle ne savait pas lui répondre la petite blonde, pas avant d’être coupée par sa mère et suzeraine qu’il reconnut grâce aux descriptions qu’on avait pu lui en faire jadis.

Bien que jeune, le Prince d’Hébra était forcé de constater que les filles tiennent des mères. « Leith Moroï ? De la famille Moroï d’Hebra ? Je ne savais pas que des représentants de… hem… du roi Piaf, seraient présents. Et encore moins, à venir rôder par chez nous ? » Bien que la voix soit douce, il comprend bien que le nom de la Dame qui les accompagne à une connotation bien négative à Hyrule. Il le comprend, mais Cantell était bien pire. Il incline sa tête bien basse en signe de résilience, et de modestie. « Je crains, Votre Seigneurie, que vous ayez raison. » Cependant, en relevant ses yeux bleus, il ne manque pas d’ajouter. « La branche exilée de ma famille prend cependant grand soin d’apporter son maigre soutien à notre lumineuse Reine. Ainsi, je suis navrée de fausser votre jugement par ma simple présence, mais je suis également ici chez moi votre Grâce. » Il n’avait pas spécialement peur du regard glacial de la Zora. (@Aphera Arlaeron) Il avait vécu toute sa vie avec ce même regard, sauf qu’il venait de son père. Autant dire que cela ne le touchait plus, cela ne le toucherait jamais plus.

Ce n’est pas même le regard du bouclier lige (@Soluth Milafar) aux côtés de la Suzeraine qui l’effraie. Sans doute n’est-il que jeune et un peu arrogant de penser qu’il ne devrait pas avoir peur. Et pourtant, en attendant la réponse de la blondinette, il s’écarte lorsqu’il entend avec surprise un simple, mais éclatant. « Mysaaaaaaaa » L’étreinte et cette proximité le font reculer d’un pas pour ne pas gêner des retrouvailles, semble-t-il, attendues par le jeune homme (@Ejo Jotaro) qui venait d’arriver dans ce petit cercle. Il ne dit rien, attendant simplement une réponse d’une Mysa perturbée, il le note bien à ses traits malgré que la Zora tente de le dissimuler. « Et je tiendrai ma parole, Leith Moroï, soyez-en assuré. Revenez me voir plus tard et je me tiendrai disponible pour discuter. » Il hoche doucement la tête courbant doucement le dos pour la demoiselle, signe d’un accord silencieux à ses paroles. Alors que le dénommé Ejo ajoute prestement avant de s’éloigner. « Désolé, je vous la rends juste après. » Pas qu’Aslath grimace, mais quelque peu tout de même. Qui était ce garçon par Valoo tout puissant ? Si son oncle avait été là, il se serait sans doute moqué de lui. Mais il ne pouvait pas être là puisque de toute façon, il n’aurait pas apprécié cette prise de risque. Quand elle est assez éloignée, il se retourne prestement vers la Dame, son chevalier et son fils, ajoutant une courbette tout aussi délicate que cordiale. « Permettez que je me retire, afin de ne plus vous offusquer, Madame. » Question purement rhétorique, car avant d’attendre un accord oral, il s’est déjà éloigné.

Allant plus loin chercher un verre, il ne manque pas de poser ses yeux sur l’étrange duo que formaient Mysa et le dénommé Ejo. Une pointe de jalousie lui enserrant le cœur. Après leurs escapades à Melka, Aslath s’était plus que rendu compte de la véritable nature de ce qui lui enserrait le cœur. Savoir que ce garçon pourrait être lui aussi un soupirant le faisait trembler intérieurement. Et justement, toujours sans verre, il est vite abordé par un jeune homme. De son âge ou un peu plus vieux. Allez savoir, Aslath était déjà si grand pour ses seize ans qu’il pouvait presque en avoir vingt si on ne savait pas son année de naissance. « Vous aussi, vous attendez quelqu’un ? Boire permet de faire passer le temps plus vite. » Il sourit presque en coin en attrapant le verre que cet inconnu lui tend. « Vous m’ôtez les mots de la bouche à vrai dire… » Ne manque-t-il pas d’ajouter simplement. « Eardan Thorn, ravi de faire votre connaissance Messire....? » Les présentations naturellement. Il dut tourner une fois sa langue dans sa bouche quand il ajoute, levant son verre vers celui du Thorn. « Leïth Moroï, enchanté Ser Eardan. » Et il boit une gorgée reposant son regard sur le duo. Ne sachant pas ce qui pouvait s’y dire. « Vous aussi, vous attendez quelqu’un peut-être ? N’étiez-vous pas à l’instant en train de présenter vos hommages à notre Reine ? » S’enquit-il un moment pour se défaire de la scène qui se passait à quelques mètres de là.

Et finalement ce sont les notes d’une valse, d’une première danse et d’une fin d’après-midi qui s’annonçait. Dans le fond, Aslath comme Leïth espéraient que Mysa serait libre pour la lui accorder.

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Jour 28, Lune 5, An 1000 ー Elle ne retrousse même pas le nez lorsqu’il la taquine au sujet de l’effet d’attraction qu’avaient les femmes de sa famille. Mais elle savait à son sourire qu’il le piquait de ses mots. Une réaction excessive aurait pu lui plaire, mais elle se contente de sourire à son tour. Pas bêtement, mais peut-être un peu attendrie par ce genre de paroles. Certes blessantes pour le commun des mortels, mais venant de lui et après cette nuit d’il y a quelques jours, Pavetta ne croyait pas un instant que pour la blesser il aurait employé ce genre de ton. Elle était tout sauf idiote, et elle ne le serait pas ici non plus. Et c’est bien dans une danse qu’elle laisse une ronde l’emporter plus loin avant de retourner dans les bras originaux qui la faisaient tournoyer jusqu’à lors.

Elle sourit en posant sa question, l’idée en tête depuis longtemps. Enfin, depuis au moins cet étrange rapprochement entre les deux futurs fiancés. Mais elle avait encore captivé son attention une seconde. Juste assez pour l’entendre demander. « Dois-je m’inquiéter ? » et elle ne répondit rien, tournant sur elle-même, la mousseline violine et dorée de la robe de feu Myranda tournant à ses mouvements gracieux. Elle ne manque cependant pas d’agripper de nouveau sa main autour de son épaule et de placer la seconde dans sa main, alors qu’elle lui fait de nouveau face. Voilà qui était étrange, lui qui avait été inquiet il y a une minute, était désormais plus détendu. Par Hylia toute puissante, que son empathie était une bénédiction pour sauver ce genre de situation. « Dites toujours, m’y lady, je suis tout ouïe. » Et il ne la quittait pas des yeux. Bien qu’elle eut déjà été fixée par bien des gens, elle était plutôt rougissante à l’effet de ses billes d’azures dans les siennes.

Pourtant, elle n’en oublie pas son objectif. Elle avait prévu cela depuis des jours. Rien ne ferait d’ombre à sa Reine, mais cette fois, il ne s’agissait pas d’elle. « J’ai un pochon dans la poche intérieure de cette robe voyez-vous. Et quand bien même vous êtes très attentif my Lord, je vous prie de ne pas vous amuser de moi. » Elle se décale un instant dans un autre pas, remarquant que le monde est toujours autour des deux mariés. Elle irait rencontrer la Reine plus tard, taquiner Saoirse par la suite, voir sa sœur et son accompagnant. Elle sourit en ajoutant plus bas, bien qu’ils soient proches dans la danse. « Bien que cela ne soit pas un présent pour moi-même cette fois. » Faisant référence à la bague qu’elle avait elle-même apportée et qu’il lui avait passée l’autre soir. Elle sourit doucement. Quand enfin, elle conclut par un simple. « J’aimerais vous introduire auprès de Gawain. C’est son anniversaire et j’aimerais que vous lui remettiez un présent entre notre nom. » En sa qualité de futur beau-père tout naturellement. Et voici qu’une fois la demande formulée, elle se met à fuir son regard et à rosir légèrement de peur d’être ridicule.

Elle était sentimentale, elle savait aussi que son fils attendait cela sans jamais avoir fait comprendre à sa mère qu’il avait ouï dire quelques rumeurs au sujet de ses futures épousailles. Mais il était la dernière personne à qui Pavetta n’avait pas dit de vive voix qu’il était son futur fiancé, son futur époux. Instinctivement, elle cherche son petit des yeux dans la foule. Il était déjà si grand, si différent de sa mère avec sa tignasse brune… Bien qu’il tenait d’elle ses boucles et ses yeux bleus, voilà tout. Quand elle reprend la parole, la musique s’arrête. Et comme elle l’aurait fait avec n’importe quel cavalier, elle s’incline respectueusement ajoutant la voix basse. « J’entends que cela peut être ridicule. Sans quoi, je le ferai seule, si cela vous pose un quelconque souci. » Elle savait parfaitement qu’elle ne pouvait pas forcer son fils à apprécier un intrus dans leur vie, et que l’inverse était tout aussi vrai. Pour Gawain, Xanto serait un intrus qui allait emmener sa mère au loin, peut-être que pour le Twili, Gawain serait une gêne ou quelque chose du genre. Elle l’ignorait, voilà pourquoi, afin d’apaiser le jeune enfant qui fêtait ses onze ans ce jour, Pavetta voulait que ça soit le représentant du crépuscule qui lui remette ce présent.

S’éloignant de la piste en sa compagnie, elle remarque les musiciens changer quelques instruments pour laisser place à la réelle première danse. Ainsi l’après-midi touchait déjà à sa fin pour laisser place au début de soirée ?

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Jour 28, Lune 5, An 1000 ー C’est justement parce qu’il parlait avec le jeune chevalier en devenir qu’Aslath oubliait de regarder la scène entre Mysa et son ami Ejo. Bien heureux au final de pouvoir trouver un peu de compagnies parmi les Hyruliens présents à la célébration. Il avait été coupé du monde depuis des années, parce que son père le trouvait peut-être trop précieux pour le mettre au milieu d’autres foules que les foules de son rang. Il avait si peu quitté Célestia, et le quittait si rarement… Tout comme Hébra en général. Il connaissait les cités de ce nouvel État indépendant… Sur le bout des doigts, mais avoir des ailes sans pouvoir voler, voilà qui était dangereux à bien des égards.

Il mourait de découvrir le monde, un monde encore plus inaccessible désormais. Il n’avait plus que des livres, ou bien des récits de bardes pour entrevoir la vérité et la beauté d’autres contrées. Un futur Roi ne pouvait pas être ainsi… Pas selon Aslath. Par Valoo, que dirait son oncle s’il savait qu’il avait pris le risque avec Meerie d’être ici pour une paire d’émeraudes souriantes. C’était bien pour Mysa qu’Aslath était venue, pour la voir elle dans sa robe superbe et danser un peu avec elle. Avouez l’inavouable. Et profiter de la vie qu’ils pouvaient vivre jusqu’à ce que la vie les rattrape et qu’ils soient officiellement de vrais ennemis avec une guerre pour couronner le tout.

D’aucuns diraient que Mysa Arlaeron n’était pas un parti convenable pour le Prince d’Hébra, parce qu’elle faisait partie d’Hyrule. Mais n’en déplaise à son père et à son chancelier néfaste, Aslath avait déjà pris sa décision. Alors quand il la remarque seul, près de la place où les gens avaient commencé à danser, il repose sa coupe sur un plateau, s’adressant à son compagnon, avant d’ajouter. « Je me dois de m’esquiver à votre compagnie, Ser Eardan. La charmante raison de mon attente est enfin accessible, veuillez m’excuser de cet abandon. » Voilà ce qu’il baragouine en s’inclinant légèrement vers le chevalier.

Bien que pourvu de deux grandes ailes au bout des plumes noires, et des cheveux blonds recouverts de cette même teinture éphémère, Aslath n’a cru des quelques personnes qu’il bouscule pour parvenir jusqu’à Mysa. Il s’en fiche royalement si vous voulez son avis.  

Elle semble perdue, un peu bouleversée, quand il tend la main devant elle en ajoutant, tendre. « Est-ce qu’une danse en ma compagnie saurait vous faire sourire de nouveau ma Dame ? » Il n’attend vraiment pas que la Zora lui prenne la main — bien qu’il ne doute pas qu’elle le fasse rapidement. Aslath la conduit dans un endroit où les danseurs ne sont pas vraiment nombreux à ce moment précis de la célébration. Personne ne les remarquerait si le couple royal venait danser avec eux sur la piste. Le silence n’était pas gênant, surtout lorsqu’il place une main dans son dos, alors que l’autre serre sa main. « Tu avais oublié de me dire dans nos lettres que cette robe t’irait si bien. » Il la taquinait, quand il reprend un peu plus bas. « Je ne regrette pas d’avoir fait une nouvelle fois le trajet. » Surtout alors qu’il était au cœur de la Capitale ennemie. Mais qu’importe Aelys qui devait être dans un coin, désormais, il n’avait d’yeux que pour sa partenaire de danse. Le silence ne s’installe pas si facilement, il est bien plus bavard avec elle Aslath. « Ce jeune homme, il ne t’a pas importuné n’est-ce pas ? Je ne voudrais pas qu’il t’ait mis de mauvaise humeur. J’ai quelque chose à te demander. » Il venait de faire le trajet pour lui demander quelque chose, mais il espérait qu’elle soit prête à l’entendre. Parce que lui avait encore le souvenir de leur baiser sur les lèvres et tant d'autres choses qui les brûlaient !

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@Mysa Arlaeron &  @Eardan Thorn

Jour 28, Lune 5, An 1000 ー « Allons, pourquoi cela me poserait problème ? » Allez savoir pourquoi cela lui poserait problème. Pavetta elle-même n’ignorait pas que certaines personnes ne voulaient pas entendre parler des enfants du premier mariage de leurs compagnes. Elle avait été témoin de quelques indélicatesses de ce genre en fréquentant la Cour d’Hyrule ou bien les grandes maisons de Lanelle. Alors, cela lui faisait peur, même si le sort de Gawain serait remis entre les mains de Nalor, elle voulait que le pas soit fait, dans les deux directions. Gawain aussi devrait s’y faire. « Autant que je sache, ce garçon deviendra mon beau-fils. Il faut que je m’en montre digne le plus tôt possible, n’est-ce pas ? » Elle observe un instant alors que la danse se finit sur ces dernières notes. Elle ne voudrait pas douter de quiconque, mais admettez qu’elle avait quelques réserves. Bien que la phrase lui fasse plaisir dans le fond, mais de là à se montrer digne de son petit ?

Elle n’ignorait pas qu’il avait gravé en son maître d’armes une véritable figure paternelle. La chance qu’il laisse une place à Xanto était faible, minime même. Mais elle avait bon espoir que les deux hommes pourraient s’apprivoiser. Au moins devant la dame. « Je crois qu’il faudra déjà obtenir son attention avant d’être digne de quoi que ce soit. » Avoue-t-elle. « Gawain est fort porté sur la chevalerie et n’a d’estime que pour son maître d’armes. » Aden était ce qu’il était, mais au moins, il prendrait soin de lui quand Pavetta serait à des lieues d’ici.

Bien que toujours au côté du Twili, elle prend une coupe de vin blanc plutôt que des bulles, et ne mange pas au passage. Cherchant des yeux Gawain. Il était jadis avec son frère et son neveu, mais là… Elle semble bien incapable de le situer dans toute cette foule. Quand enfin le conseiller crépusculaire lui demande. « Bien, où se trouve ce charmant jeune homme alors ? » Elle se retourne la coupe entre les mains, une moue sur le visage, déjà en proie à une certaine inquiétude, jusqu’à sentir qu’on lui prend le bras avant qu’elle n’ait plus répondre quoi que ce soit.

« Mère ! Enfin je vous trouve ! » C’était une phrase qu’elle entendait souvent à cause de son emploi du temps. Et pourtant, à onze ans, il n’était pas loin d’avoir la taille de sa mère à une dizaine de centimètres près. Sans doute la faute de son sang hylien dans le fond. Mais il était l’opposé physique de Pavetta à n’en point douter. Jusqu’à ce que le garçonnet retrouve ses manières en inclinant la tête face au Twili. « Monseigneur, je vous prie d’excuser mon intrusion… » Il allait continuer à parler quand la Zora le coupe d’un mouvement de la main. « Cela est un heureux hasard, Gawain, nous te cherchions. » Assez pour faire froncer les sourcils au jeune homme, qui demande silencieusement pourquoi, alors que la blonde s’écarte. Assez pour glisser habilement le pochon dans la veste de Xanto.

« Je tenais à te présenter Ser Odair. » Ajoute-t-elle, en venant poser une main sur l’épaule de son garçon, s’éloignant de son futur époux. Mais elle ajoute dans un sourire. « Il a eu la délicate idée de t’apporter un présent de son pays pour tes onze ans. » Mensonge n’est-ce pas ? Mais c’était bien un présent de Metzli qui se trouvait là. « Ser Odair, mon fils Gawain, comme je vous en ai longtemps parlé. » Elle n’en avait presque jamais fait mention, parce qu'elle souhaitait avant tout préserver son enfant, mais elle était bien fière de se placer derrière lui et de poser ses deux mains, sur les épaules de son fils, en ajoutant à l’oreille de son garçon. « Nous devrons parler dans la soirée Gawain. » Ce à quoi le garçonnet répond sans se cacher. « Nous parlerons lors d’une danse Mère, vous aviez promis. » Elle sourit. « Et je tiens toujours mes promesses. » Alors qu’elle s’écarte pour lui pincer la joue. Des marques d’affection qu’elle avait toujours eue pour son unique progéniture… Sans savoir qu’elle portait le fruit d’une autre union à l’instant où elle parlait. Mais qu’importe, pour l’instant, Gawain, ne savait pas sans doute serait-il plus maussade lorsqu’elle lui dirait enfin que cet homme allait faire partie de leur famille.

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